mardi 30 août 2016

Toutes les dates… Des foires aux vins 2016 !

Les foires aux vins d'automne 2016 sont quasi-prêtes... 

De leur côté, les consommateurs vont bientôt consulter les prospectus "spécial foires aux vins" pour préparer leurs achats de divins nectars ! Pour être sûr de ne manquer aucune bonne affaire, voici toutes les dates des foires aux vins des enseignes traditionnelles et bio, des chaines de cavistes et des sites de e-commerce dont quelques nouveaux : vente-privée, Le Petit Ballon ou encore Naturalia.

De nombreuses dégustations sont également organisées à ces dates, pour vous permettre de goûter les crus et de vous faire une meilleure idée de ce que vous achetez. De plus, cette année, certaines enseignes proposent aux consommateurs des pré-réservations ouvertes sur leurs sites plusieurs jours avant le démarrage de cet événement en magasins.

- Enclave vinothèque : du 22 août au 30 septembre
- Intercaves : du 22 août au 15 octobre
- Cora : à partir du 22 août
- Wine & Co : du 25 août au 4 octobre
- Vinothèque de Bordeaux : du 25 août au 29 septembre
- Grandsvins-prives : du 25 août au 10 octobre
- Vente-privée : à partir du 28 août ( environs 15 jours )
- Repaire de Bacchus : du 30 août au 29 septembre
- LIDL : à partir du 31 août
- La Vignery : du 1er au 24 septembre
- Cuvelier & Fauvarque : du 1er septembre au 31 octobre
- Vinatis : du 1er septembre au 4 octobre
- Le Petit Ballon (site de vente de vin par abonnement) : à partir du 1er septembre
- Cavissima : du 2 septembre au 30 septembre
- Casino Supermarchés : du 2 au 17 septembre
- Lavinia : du 5 septembre au 3 octobre
- Netto : du 6 au 18 septembre
- Mondovino : du 6 septembre au 18 octobre
- Casino Géant : du 6 au 17 septembre
- Intermarché : du 6 au 18 septembre
- Leader Price : du 6 au 18 septembre
- Comptoir des millésimes : du 6 septembre au 10 octobre
- Casino Proximité (Sherpa, Vival, Petit Casino, Casino Shop) : 7 au 18 septembre
- Idealwine : du 7 au 26 septembre
- Lafayette Gourmet : du 7 septembre au 1er octobre
- Monoprix : du 7 au 25 septembre
- Nicolas : du 7 septembre au 4 octobre
- Franprix : du 7 au 18 septembre
- Naturalia : du 8 au 28 septembre
- Chateaunet : du 8 septembre au 1er octobre
- Millésimes : du 8 au 28 septembre
- Biocoop : du 08 septembre au 14 octobre
- Cdiscourt : du 9 septembre au 3 octobre
- Vintage & Co : du 9 au 30 septembre
- Xo-Vin : du 9 septembre au 16 octobre
- Cru Paris : du 12 septembre au 3 octobre
- Carrefour Market : du 16 septembre au 2 octobre
- Carrefour Contact : du 16 au 25 septembre
- Magasins U : du 20 septembre au 1er octobre
- Auchan : 20 septembre au 4 octobre (pré-réservations)
- Carrefour Hypermarchés : 28 septembre au 10 octobre (pré-réservations)
- E.Leclerc : du 28 septembre au 8 octobre
- Simply Market : du 30 septembre au 16 octobre

"C'est le moment de faire des affaires ! Et les foires aux vins, représentent une belle occasion de regarnir sa cave à un prix correct, de bons crus et autres vins de pays succulents… "

Éric.L

Posté par le P'tit Rapporteur du Magarin

samedi 27 août 2016

Présidentielle 2017… Les ambitions de Montebourg, de Sarkozy, en attendant Macron ?

C’est parti pour la présidentielle 2017 ! 

Les annonces de candidature de Nicolas Sarkozy, après Arnaud Montebourg et en attendant celle d’Emmanuel Macron, tous ex-locataires de Bercy ! Normalement, ils ont un avantage… Celui de bien connaître les acteurs économiques et les priorités des Français, chômage, impôts et pouvoir d’achat…

Nicolas Sarkozy, sans surprise, est candidat au primaire de la droite. Il signe un livre, “Tout pour la France”, qui sert de base à son programme, notamment économique. L’ex-président de la République, ex-locataire de Bercy, base toujours son programme sur le thème “travailler plus pour gagner plus” ! En déverrouillant les relations sociales dans les entreprises. Arnaud Montebourg bouscule plus les codes habituels, en se servant de son passage à Bercy et de sa connaissance de l’économie et des entreprises - souvent nommées, ce qui rend le message moins flou - pour dérouler son programme. Fiscalité, pouvoir d’achat, chômage, PME, grande distribution, coopératives, Florange, Technip, Alstom, Arcelor Mittal étaient ainsi cités. Le niveau semble s’élever. Un nouveau style s’impose !

Arnaud Montebourg connaît ses dossiers et les patrons, qu’il n’hésite pas à tancer. Rien à voir avec l’Assemblée nationale où l’on s’interdit de citer le moindre nom de société, comme s’il s’agissait d’une maladie honteuse ! Qu’il s’agisse d’en dénoncer les pratiques ou d’en vanter les mérites ! C’est exactement ce même style qu’a imposé Emmanuel Macron à Bercy, très inspiré par l’un de ses mentors, le président de l’Autorité de la concurrence, Bruno Lasserre. Emmanuel Macron, qui ne s’est pas encore dévoilé, mais qui est aussi insatisfait qu’Arnaud Montebourg que sa loi “Nouvelles opportunités économiques” ait été retoquée par le président de la République au profit de celle Michel Sapin contre la corruption, pourrait bien aussi faire son entrée en scène…

Du coup, l’exercice de candidature devient plus intéressant. Que veut Arnaud Montebourg, en matière économique ? En priorité, soutenir les PME et le Made in France, thème dont il a fait son fer de lance, d’abord à Bercy, puis après sa démission de ministre de l’Economie et du Redressement productif, lors de multiples prises de paroles avec le centriste Yves Jego. «Les PME? Elles sont plus de 3 millions et demi de moins de 10 salariés. Il suffirait d'une seule embauche dans chacune d'entre elles pour régler l'essentiel du problème du chômage», a-t-il précisé. Certes, dans les 3 millions, la plupart n’ont qu’un salarié, ce qui reviendrait à doubler la masse salariale... et encore faut-il qu’elles trouvent des clients. Mais elles bénéficieraient d’une baisse de leur fiscalité, de marchés publics, d’un nouveau “Crédit national” à leur disposition. Les PME… Elles sont le trésor de notre pays ! Ce sont les héroïnes du made in France qui se battent au quotidien pour produire en France, créer et maintenir des emplois sur nos territoires et pourtant ce sont elles qu’on ignore, qu’on méprise, qu’on méconnaît. Ce sont elles qui permettront de concrétiser le retour du Made in France, cette grande cause nationale que désormais un grand nombre de Français soutiennent dans leur vie quotidienne ! Le patronat devra s’intéresser aux petites entreprises plutôt qu’aux grandes, les syndicats devront s’y implanter, les grands groupes devront les soutenir, la grande distribution les respecter et l’Etat les protéger… Arnaud Montebourg veut aussi revenir sur la hausse de la fiscalité qui frappe les ménages depuis 2012. “Je propose l’annulation progressive des hausses d’impôts sur les revenus du travail des classes moyennes et populaires. Ces baisses d’impôts feront rentrer l’argent dans les caisses de l’Etat et non l’inverse, et permettront de faire redécoller l’économie.” Evidemment, toute la subtilité est dans le terme “progressive”...  Enfin, côté réduction des dépenses publiques, peu évoquées, il veut diminuer le nombre de députés à 300 au lieu de 577 dont 70 élus à la proportionnelle, et réduire le nombre de sénateurs à 200 dont 100 tirés au sort parmi la population, et supprimer le Conseil économique et social ! Pas sûr que les élus qui ont quel qu’influence sur les colleurs d’affiches ou les militants soient séduits ! 

Pour Nicolas Sarkozy, l'orientation économique que le pays doit prendre doit être focalisée pour et sur les entreprises. Il propose une baisse des cotisations de 34 milliards d'euros ainsi que la fin de la durée unique du temps de travail. Chaque entreprise pourra fixer son temps de travail et les salariés seront payés en conséquence. Trente-cinq heures seront payées 35, 36h seront payées 36, etc. Les heures supplémentaires seront de nouveau défiscalisées, l'âge de départ à la retraite repoussé à 63 ans en 2020 et 64 en 2025, (quid de tous ces séniors de plus  de 50 ans qui ne retrouvent plus de travail… Pas de réponse) et les allocations chômage seront dégressives, sur la base d’une aide unique de 75 % du SMIC la première année, puis 20 % de moins au bout de 12 mois et encore 20 % de moins au bout de 18 mois. Et comme Arnaud Montebourg, il veut réduire le nombre de parlementaires, mais seulement d’un tiers !

Voilà pour les programmes des derniers jours. Mais les candidatures foisonnent, les dernières étant à l’initiative de Benoît Hamon, qui veut réduire le temps de travail, et de Cécile Duflot, tous démissionnaires des gouvernements socialistes. Il ne manque plus qu’Emmanuel Macron… Sautera-t-il le pas, avec son mouvement “En Marche” ? On le donnait partant du gouvernement en juillet. En août, il est toujours là !

"Si les candidatures d’un François Hollande, d’un Nicolas Sarkozy ou d’un Alain Juppé sont parfaitement attendues, ceux qui peuvent bousculer la donne, au moins par le nombre de voix qu’ils sont susceptibles de capter, attireront forcément plus les regards. Et c’est le cas surtout pour Arnaud Montebourg et Emmanuel Macron, à gauche. A droite, c’est plutôt la bataille Sarkozy-Juppé lors des primaires qui est attendue... "

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…

Posté par le P'tit Rapporteur du Magarin

jeudi 25 août 2016

Quatre villages de charme… À découvrir en Poitou-Charentes !

Vous êtes nombreux à choisir le Poitou-Charentes pour y passer vos vacances, et notamment la Charente-Maritime qui demeure le premier département préféré des Français. Notre région a du charme et pour vous aider à en profiter, voici un petit guide de quelques destinations à découvrir.

Angles-sur-l'Anglin (86) :

Aux confins du Berry et de la Touraine,Angles-sur-l’Anglin doit son nom à la tribu saxonne des Angles qui envahit l’Angleterre au Vème siècle, ainsi qu’à la rivière qui sépare la partie haute et la partie basse du village. Le village est dominé par un château, construit au XIème siècle par les évêques de Poitiers. Quant à sa réputation, ce sont ses « jours », de magnifiques broderies faites à la main et, beaucoup plus loin dans l’Histoire, sa frise sculptée magdalénienne (15000 ans) du Roc aux Sorciers.

Aubeterre-sur-Dronne (16) :

Deux monuments historiques majeurs, l’église souterraine Saint-Jean et l’église Saint-Jacques. L'église souterraine Saint-Jean est un monument unique en Europe. Sa vocation première fut d’abriter des reliques conservées dans une succession de fosses et dans un reliquaire dont la forme s’inspire de celle du Saint sépulcre découvert à Jérusalem lors de la première croisade. Il a été réalisé par évidement de la paroi calcaire. Il peut donc être qualifié de monolithe. (Voir également l’article Publié précédemment : Aubeterre sur Drome… Les secrets de son église !)

Talmont sur Gironde (17)

Le village de Talmont sur Gironde est une ancienne bastide avec son promontoire dominant l'estuaire de la Gironde. Le patrimoine de pierres de Talmont sur Gironde  s'articule autour de 2 sites majeurs : l'église Sainte Radegonde et le belvédère. Au moyen âge, c'était une "Ville Close", une ville entourée de muraille. Au bord de l'eau, la célèbre église romane en figure de proue, construite au XIIème siècle par les moines de l'abbaye de Saint-Jean-d'Angély. (Voir également l’article Publié précédemment : Talmont-sur-Gironde… Et son église Sainte-Radegonde !)

Coulon (79) :

C'est la capitale de la Venise verte, le Parc Interrégional du Marais Poitevin. Aux portes de la ville de Niort, elle est située au bord de la Sèvre niortaise. C'est le point de départ des chemins du Poitou secret. C'est aussi l'un des lieux de départ pour les promenades en barque dans les canaux du marais poitevin, bordés de frênes têtards et de peupliers. C’est un lieu idéalement situé, à 1h de La Rochelle, du Futuroscope, du Puy du Fou, ou de Cognac.

"Ce ne sont là que 4 destinations parmi tant d’autres que propose le Poitou-Charentes. Mornac-sur-Seudre, Arc-en-Ré ou encore La Flotte… Cherchez, fouillez et prenez du plaisir à parcourir notre belle région !"

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…


Posté par le P'tit Rapporteur du Magarin

mardi 23 août 2016

Adieu Rio 2016… Rendez-vous à Tokyo, en 2020 !

Les Jeux olympiques de Rio ont pris fin dans une ambiance de carnaval à peine douchée par la météo capricieuse, dimanche soir, à l'issue d'une cérémonie de clôture dédiée à "l'art brésilien sous toutes ses formes", et plus particulièrement la musique.

La France termine à la 7eme place et a battu son record de médailles…
Les Bleus ont en effet battu leur record de médailles d'après-guerre, avec un total de 42 breloques récoltées. 10 en or, 18 en argent et 14 en bronze. Davantage que lors des éditions précédentes et une de plus qu'à Pékin en 2008.

"Félicitation à nos médaillés, mais également à tous les athlètes qui ont participé à ces JO 2016 !"

Éric.L

Posté par le P'tit Rapporteur du Magarin

samedi 20 août 2016

Rio 2016, Grèce antique… Plus de deux millénaires de jeux !

Au dénouement des JO de Rio 2016… Petit comparatif entre les jeux organisés par la Grèce antique et ceux de notre époque moderne. Courses à pied, sports de combat et pentathlon figuraient au programme des compétitions sportives célébrées dans la Grèce antique à Olympie. Des Jeux bien différents de ceux d'aujourd'hui… Et pourtant !

Les Jeux olympiques sont la manifestation sportive la plus connue de l'Antiquité : c'est si vrai qu'on considère parfois que le sport même est né à Olympie, dans ce grand sanctuaire situé au nord-ouest du Péloponnèse, en 776 avant notre ère, date traditionnelle de la fondation des jeux. Et l'on oublie ainsi que nous avons déjà des images sportives remontant au IIIe millénaire, dans la civilisation égyptienne et dans la civilisation sumérienne. Les sports de combat et surtout la lutte, étaient dès cette époque particulièrement en vogue. Cette prédominance du sport grec dans la pensée générale est en grande partie liée au fait que ceux-ci ont été restaurés à l'époque moderne, en 1896, à l'instigation du baron Pierre de Coubertin. Mais, si nous avons bien conservé la périodicité des Jeux olympiques qui revenaient tous les quatre ans, les différences entre la manifestation antique et la compétition moderne, déjà sensibles à la fin du XIXe siècle, n'ont fait que s'accentuer depuis cette période !

Des jeux en constante évolution…

Le nombre des compétitions et des participants s'est accru de façon incroyable lors de ces dernières décennies ! Près de 400 athlètes français à Rio ! Et le fait que le football, ce sport professionnel entre tous, soit devenu une discipline olympique permet de relever d'emblée un trait inconnu des Anciens. Les Grecs, qui pratiquaient assidûment comme les Romains les exercices avec la balle, n'avaient cependant jamais inscrit les sports collectifs de ballon dans leurs concours officiels. Le programme olympique, qui se déroulait sur quatre ou cinq jours – et encore une partie de ce temps était-il consacré à des rites religieux – ne comprenait que des compétitions hippiques et athlétiques, ces dernières étant souvent qualifiées de « gymniques » : ce qui a le mérite de rappeler, d'après l'étymologie de ce terme, que les athlètes étaient alors nus (mais on peut supposer, comme le montre parfois l'iconographie, qu'ils portaient une sorte de « suspensoir »).

Le privilège de l'aristocratie…

Les épreuves hippiques, qui se déroulaient dans l'hippodrome, comprenaient des courses attelées et des courses montées. C'était la course de quadriges, chars attelés à quatre chevaux, qui apportait la principale gloire sportive, mais il faut tenir compte du fait que c'étaient les propriétaires du char et des chevaux qui recevaient la couronne de feuillage, prix de la victoire, et non pas le jockey ou le cocher. Cette épreuve était réservée à l'aristocratie qui avait seule les moyens d'élever des chevaux… et de les transporter jusqu'à Olympie. Dans ces conditions, une femme pouvait être victorieuse en tant que propriétaire : chose exceptionnelle à Olympie et dans les autres grands concours de l'Antiquité puisque seuls les hommes pouvaient concourir sur la piste du stade ! Et c'est évidemment une autre différence essentielle avec les JO actuels – mais on sait que Coubertin ne voyait pas d'un œil favorable la création de compétitions féminines… En tout cas, en voyant cette magnifique statue de bronze qu'est l'Aurige de Delphes, on doit se souvenir que ce n'était pas le vainqueur, mais le simple cocher du vainqueur, en l'occurrence Polyzalos, un tyran de Gela en Sicile, qui l'avait emporté au début du Ve siècle avant notre ère.

Dans les stades…

Les épreuves athlétiques comprenaient des courses à pied, des sports de combat et le pentathlon, première compétition à épreuves multiples de l'histoire du sport. Il y avait trois courses, deux de sprint, celle dite du stade sur 180 mètres environ (ce qui correspondait à la longueur de la piste), celle du double stade (le diaulos) qui fait donc un peu moins de 400 mètres, et une course de fond appelée le dolichos sur 20 stades, autrement dit un petit 4 000 mètres. Mais il faut leur adjoindre la course armée lors de laquelle les athlètes portaient un casque et un bouclier ! C'était la dernière épreuve des jeux, et elle symbolisait la fin de la trêve olympique sacrée. Laquelle n'avait jamais entraîné la suspension de toutes les guerres, mais seulement la possibilité pour les athlètes et les spectateurs de se rendre à Olympie sans risquer d'être tués au cours du voyage par l'ennemi de leur cité.

Lutte, pugilat, pancrace…

Les trois sports de combat (lutte, pugilat et pancrace) ne comportaient pas de catégories de poids, et seuls les athlètes lourds avaient des chances de l'emporter. La lutte antique, appelée palè, qui a donné le mot palestre, n'avait rien à voir avec notre épreuve dite pourtant « gréco-romaine ». Les prises étaient autorisées au-dessous de la ceinture et le vainqueur était celui qui avait projeté trois fois son adversaire au sol. Le lutteur Milon de Crotone, six fois vainqueur à Olympie, est sans doute l'athlète le plus célèbre de l'Antiquité grecque. En revanche, au pugilat (la boxe) et au pancrace, le combat se poursuivait sans qu'il y ait de rounds jusqu'à ce qu'un des deux adversaires soit K.O. ou abandonne !
Le pugilat était le sport le plus violent, le plus sanglant ! Les mains étaient renforcées par des lanières de cuir qui deviendront de plus en plus épaisses, et il semble que les coups n'étaient été portés qu'à la tête. C'est pourquoi, un auteur grec a pu prétendre que le ventre rebondi était un atout pour un boxeur ! Car, il était ainsi plus difficile pour son adversaire de le toucher à la tête… Sauf à avoir une allonge remarquable !
Le pancrace était un mélange de boxe et de lutte, mais il était finalement moins dangereux que le pugilat, dans la mesure où les athlètes ne portaient pas de « gants » pour pouvoir assurer leurs prises, et là le combat se poursuivait au sol. Il était simplement interdit de mordre l'adversaire ou de lui enfoncer les doigts dans les yeux ! La «fourchette» n'était donc pas le seul fait des rugbymen modernes…

Pentathlon…

Celui-ci comportait cinq épreuves, dont la course du stade et la lutte qui étaient aussi au programme en tant qu'épreuves individuelles. Ce qui n'était pas le cas des deux lancers du disque et du javelot, ni du saut en longueur disputés dans le seul cadre du pentathlon. Lors des JO d'Athènes en 2004 on a voulu organiser une épreuve à Olympie même pour être encore plus proche des origines antiques et c'est le lancer du poids qui a été choisi ! Une bien mauvaise décision… Puisque ce lancer n'a jamais figuré officiellement dans le programme antique ! Le saut en longueur devait être en réalité un quintuple saut sans élan. Des sauts sans élan ont aussi figuré au programme des premiers JO modernes. La désignation du vainqueur au pentathlon devait répondre à des critères un peu compliqués, sauf en cas de domination écrasante d'un concurrent.

Les seniors aussi…         

Il y a un seul point sur lequel les jeux antiques qui excluaient les femmes, les non-Grecs, les non-libres, montrent une plus grande ouverture que les JO actuels… C'est que les compétitions étaient organisées pour deux catégories d'âge, les andres (seniors) et les paides (juniors). C'est lors du mois précédant les épreuves que les athlètes étaient répartis entre ces deux classes d'âge. En revanche, on ne se laissera pas trop abuser par l'« amateurisme » des athlètes grecs, car, si la récompense aux JO était bien une simple couronne d'olivier, les vainqueurs pouvaient obtenir de leur cité des avantages matériels importants, et il existait aussi, à côté des jeux panhelléniques sacrés, toute une série de concours sportifs qui étaient dotés de récompenses en argent. Mais il est vrai que les sommes étaient sans commune mesure avec ce que nous connaissons aujourd'hui ! Pour trouver un exemple antique de sport-business, c'est du côté de Rome qu'il faut se tourner. Les courses de chars du Circus Maximus de Rome, entre Palatin et Aventin, n'avaient rien à envier à notre football ! Même passion planétaire dans tout l'Empire romain, un édifice sportif accueillant 150 000 spectateurs, une organisation en quatre factions, quatre clubs que distinguait leur couleur (les Blancs, les Verts, les Rouges et les Bleus) et qui étaient dotés d'un personnel nombreux et de moyens financiers considérables. Enfin, des vedettes superstars, les cochers de quadriges qui gagnaient des sommes stupéfiantes, souvent jugées scandaleuses, et étaient souvent transférés d'un club à un autre…

"Contrairement à ce que l'on estime souvent, le sport n'est pas né à Olympie, pas plus qu'il ne s'est éteint dans l'Attique ou le Péloponnèse. L'Egypte nous offre de nombreuses scènes sportives, entre autres de lutte, dès le 3e millénaire avant notre ère. Et les Romains, héritiers des Etrusques sur bien des points et en particulier dans ce domaine, ont peut-être créé le sport moderne, avec ses spectacles de masse, ses clubs puissants et ses enjeux financiers colossaux ! Le Grand Cirque de Rome, dans lequel s'entassaient jusqu'à 150 000 spectateurs, voyait défiler sur leurs quadriges des cochers adulés du public et qui n'avaient rien à envier sur aucun point à nos stars du football ou de l'automobile… "

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…

Posté par le P'tit Rapporteur du Magarin

mardi 16 août 2016

Marie Brizard… Une belle endormie née sous Louis XV !

Marie Brizard, est une célèbre marque de liqueur créée à Bordeaux sous Louis XV, qui marche très fort à l’export, mais qui est tombée en désuétude sur le marché français. Cette marque revient  sur le devant de la scène avec notamment une bouteille plus élancée que la précédente et inspirée du style Art Déco, toujours en vogue. Une verrerie plus identaire qui marque la volonté de son propriétaire, le groupe Marie Brizard Wine and Spirits, d'en faire l’une de ses quatre marques phares avec le whisky William Peel, la vodka Sobieski et la boisson aromatisée à base de vin, Fruits and Wine.

Une marque née sous Louis XV… En effet, Marie Brizard, créatrice de la célèbre liqueur, a réellement existé. Ce fut à la fois une féministe et une business woman. En effet, cette ainée de 15 enfants, née en 1714, a lancé son Anisette en 1763, ce qui était pour l'époque un pari très audacieux venant d'une femme célibataire. C’était la France de Louis XV, peu encline à faire de la place aux talents féminins ! Fille d’un bouilleur de cru de Bordeaux, Marie Brizard avait alors dû s’associer à un homme, Jean-Baptiste Roger, afin qu’il signe des chèques car il faut rappeler que les femmes ne purent ouvrir un compte en banque que deux siècles plus tard, grâce à la loi du 13 juillet 1965 ! C’est pourquoi les liqueurs de cette femme ont longtemps été signées Marie Brizard & Roger. Un monsieur Roger qui ne fut pas l’époux de cette créatrice… Elle ne s’est jamais mariée et ce n’est pas une veuve non plus comme il y en eut tant en champagne. Native de Bordeaux, ville portuaire, Marie Brizard avait accès à toutes les épices qui arrivaient par bateaux du bout du monde. Son anisette contient ainsi du fenouil, de la coriandre, de la racine d’iris, de l’écorce de citron parmi la dizaine de plantes et épices qui la composent. L’histoire n’a pas retenu la façon dont Louis XV consommait cette anisette qu’il commandait, dit-on, par caisses entières pour régaler tous les notables vivants sous son toit à Versailles ! Au siècle dernier, elle était bue frappée (avec des glaçons) dans un verre à cognac ou bien allongée d'eau. Surtout à la fin des repas car c'était un digestif apprécié des femmes.

MBWS relance la marque aujourd’hui avec un cocktail dédié proposé dans une sélection de bars branchés, le Marie Zest (anisette, citron vert et tonic). Avec trois ingrédients, il est aussi très simple à réaliser à domicile. Et puis, la marque a fait de nombreux petits en deux cents ans d'existence : 85 recettes de liqueurs et 28 références de sirops pur sucre de canne. Comme le Parfait Amour, recette créée en 1766 et qui marie de l’orange douce d’Espagne, de la vanille de Madagascar et de l’huile essentielle de néroli. Amour Parfait à lui aussi son cocktail. Baptisé Marie Love, celui-ci est composé de cette liqueur, de vin rosé et de tonic. Une autre recette que MBWS a souhaité à la portée de tous les mixologistes qui exercent à domicile.

"Marie Brizard… Une belle endormie, née sous Louis XV à l’histoire incroyable !"

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…

Posté par le P'tit Rapporteur du Magarin

samedi 13 août 2016

Pokémon Go… Ou le signe de la vacuité intellectuel !

Tout le monde a déjà entendu parler des Pokémon. Ce jeu vidéo traduit en dessins animés, mangas et jeux de cartes à la fin des années 90. Ces petits êtres fantaisistes et sympathiques aux noms tout aussi imaginaires. Vous les avez forcément entendus : Pikachu, Dracaufeu ou Bulbizarre… Désormais, avec la dernière création, "Pokémon Go", la frontière entre virtuel et réel s'estompe et se confond. Depuis son lancement en France le 24 juillet, le jeu Pokémon Go a séduit des millions d'adeptes. Un phénomène qui a même vu se créer une communauté avec ses codes, son langage et qui traque partout les bestioles multicolores, n'hésitant pas à investir des lieux privés ou monuments publics en tous genres, portable en main pour attraper un maximum de Pokémon. Des joueurs aux allures un peu étranges, utilisant leur "smartphone" comme d'un détecteur à métaux, traquant les rues, quais, jardins à la recherche de Pokémon à capturer. Ceux-ci, planqués dans le monde réel, apparaissent virtuellement sur les écrans de téléphone et tablette. Le but, vous l'aurez sans doute compris… Récolter un maximum de Pokémon ! Une mode qui ne touche pas simplement les jeunes, contrairement à certains clichés…

Tout juste un mois après sa sortie, le jeu Pokémon Go s’affirme comme un véritable phénomène planétaire. Plus de 100 millions de téléchargements à travers le monde, et déjà six millions pour le seul territoire français. Un jeu gratuit qui a déjà généré, outre quelques surprenants mouvements de foule, plus de 200 millions de dollars ! Jackpot pour la société Niantic à l'origine du jeu Pokemon Go. Certains analystes estiment que le chiffre d'affaires annuel de l'application pourrait même atteindre un milliard de dollars ! Le jeu est pourtant gratuit… Mais il offre du contenu payant pour progresser plus rapidement. Les joueurs se laissent facilement tenter par ces petits achats afin de devenir le meilleur dresseur. Niantic réfléchit désormais à la manière de monétiser son jeu, notamment en nouant des partenariats avec des enseignes. Contre argent, des boutiques ou des restaurants deviendront des lieux qui abritent des Pokémons. Les premiers commerçants ont déboursé entre 10 et 20 dollars pour abriter les célèbres créatures japonaises pour une courte période entre leurs murs. Une somme qui pourrait augmenter à l'avenir au vu du succès de la formule… 

Loin de fustiger le monde du jeu vidéo, qui est, finalement une nouvelle forme de culture particulièrement inspirante et créative, Pokémon Go parvient cependant à rendre visible un syndrome particulièrement préoccupant… Celui de favoriser les rapports virtuels entre les hommes, dans un unique but consumériste ! La société est dans une phase où le vide existentiel domine l'esprit du citoyen. Alors que l'intention du XXIe siècle, devrait sublimer l'Être. Notre "modernité" positionne le Français (comme tout autre citoyen dans le monde) dans la recherche de la consommation, ou dans sa quête entêtante de profiter de ces mêmes biens (ici le jeu Pokémon Go), en étant totalement débranché du réel et de la richesse qui l'entoure. De fait, cette virtualité déconnecte le citoyen de la nature, des différentes cultures, des divers patrimoines qui l'entourent... et de ses congénères ! Une illusion qui créé une impatience chez le citoyen, celle de profiter de son bien artificiel pour s'épanouir individuellement et virtuellement. Avec cette fausse idée, qu'en parcourant les rues et les places de nos cités, le joueur aura, au moins, l'apparence d'être mêlé à une communauté réelle.

Le phénomène Pokémon Go s’empare également de la grande distribution ! Avant même que le jeu ne sorte en France, le 24 juillet 2016, les enseignes de la grande distribution ont lancé des opérations de marketing autour de Pokémon Go. Grâce à la géolocalisation, ce jeu sur smartphone peut également servir d’outil web-to-store aux mains des distributeurs. Attrapez Les Tous… Les enseignes de la grande distribution l’ont vite compris ! Pokémon Go est un bon outil pour attirer de nouveaux clients en magasin. 

"Le monde moderne nous bouscule… Sollicités par de nombreux loisirs, nous n'avons plus le temps de lire, de profiter des plaisirs simples de la vie ! Et voilà qu'un nouveau jeu (Pokémon Go) nous invite à aller chercher des monstres virtuels, dans l'environnement de nos villes, à l'aide de nos i-phones. La chasse aux Pokémon est ouverte ! Le phénomène prend même de l'ampleur... Mais quelle est donc cette folie qui pousse les gens à se lancer, dans les rues, à la poursuite d'êtres virtuels ?" 

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…


Posté par le p'tit rapporteur du Magarin

jeudi 11 août 2016

Cinq sites incontournables… À découvrir en Poitou-Charentes !

Vous êtes nombreux à choisir le Poitou-Charentes pour y passer vos vacances, et notamment la Charente-Maritime qui demeure le premier département préféré des Français. Notre région a du charme et pour vous aider à en profiter, voici un petit guide de quelques destinations à découvrir.

Le Marais Poitevin : 

Sans doute l'un des sites les plus visités à la lisière des Deux-Sèvres et de la Charente-Maritime. Le marais est constitué de nombreux canaux appelés conches. Il est souvent impossible de parcourir ce territoire autrement qu’en barque, appelée plate, que l’on déplace avec la pigouille, une sorte de grande perche avec laquelle le batelier prend appui sur le fond et propulse l’embarcation. Dépaysement garanti dans une nature généreuse pour partir à la découverte d'un site qui porte toujours sa part de mystère. Pour vous renseigner sur vos possibilités d'excursion, c'est ICI.

Le Futuroscope : 

Le Futuroscope est le 2e Parc de loisirs français le plus visité. Depuis sa création, le parc a accueilli plus de 46 millions de visiteurs. En 2015, le parc repositionne sa communication autour d'un nouveau slogan : "Vous n'imaginez pas ce qui vous attend" et cette formule traduit parfaitement la réalité. Sensations fortes, grands spectacles, découvertes, amusement, les familles se régalent en dansant avec ls robots, Arthur, une aventure à vivre en 4 dimensions, des écrans géants pour des voyages dans l'espace, mais aussi l'expérience de l'Age de Glace ou le spectacle de nuit conçu par le Cirque du Soleil. Pour tout connaître des animations, c'est ICI.

La Vallée des Singes :

Le concept des créateurs de ce parc de 18 hectares situé dans la Vienne ? Installer les visiteurs en contact direct avec 34 espèces de primates, soit plus de 400 animaux qui s'épanouissent en totale liberté dans un environnement naturel. Il s'agit du plus grand territoire d'Europe accueillant des chimpanzés et le plus grand groupe de gorilles de France. Un détour par les Bonobos s'impose. Cette espèce est proche de l'homme avec 98% de patrimoine génétique en commun. Les Bonobos sont des adeptes du "sexe convivial" : leurs rapports sexuels n'ont pas de fins reproductives mais sociales. Pour organiser votre visite dans les meilleures conditions, c'est ICI.


L'Aquarium de La Rochelle :

C'est un voyage de 2 heures pour visiter le cœur des océans et partir  à la rencontre de milliers d'animaux marins.  Des méduses fragiles, des requins fascinants, un voyage unique pour une immersion au creux des océans. Clou de la visite : la découverte du plus grand bassin de l'aquarium. 1 million et demi de litres d'eau de mer pour accueillir plusieurs espèces du seigneur des océans : requin taureau, requin gris, requin scie, requins corail. Pour réserver votre voyage sous-marin, c'est ICI.

Les grottes du Queroy :

Creusées par les eaux souterraines, situées en lisière de la forêt domaniale de Bois-Blanc, les grottes du Quéroy ont été découvertes en 1892. Préservées dans leur état naturel, elles offrent aux visiteurs de magnifiques concrétions calcaires : stalactites, stalagmites et draperies. Ces grottes ont aussi accueilli un habitat néolithique. Sur place, on peut aussi entamer plusieurs randonnées sur des sentiers balisés en forêt. Pour organiser une visite, c'est par ICI.

"Ce ne sont là, que 5 destinations parmi tant d'autres que propose le Poitou-Charentes. Le Zoo de La Palmyre, Fort Boyard ou encore l'Abbaye romane de Saint-Savin... Cherchez, fouillez et prenez du plaisir à parcourir notre belle région ! "

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…

Posté par le P'tit Rapporteur du Magarin

mardi 9 août 2016

La première supérette… 100% libre-service !

C'est une première mondiale dans le secteur de la grande et petite distribution… Une supérette en libre service, ouverte 24h sur 24, et sept jours sur sept. À première vue, rien de neuf, si ce n'est que le client fait seul ses courses dans les rayons avec son Smartphone, le tout basé sur la confiance. C'est unique… C'est suédois !

Ouverte 24h/24 et 7j/7, la première supérette sans caissiers ni vendeurs, 100% libre service a été créée par Robert Ilijason, un Suédois de 39 ans. Dans les rayons de cette épicerie de village, le client se débrouille tout seul grâce à son smartphone. Pas de queue, on rentre rapidement et on sort rapidement. La supérette sans personnel, créée par Robert Ilijason, semble faire l’unanimité dans la petite ville de Viken, 4 200 habitants. Le principe est simple : l’épicerie ouverte 24h/24 et 7j/7 est 100% libre service. Simplement équipé de son smartphone, le client se débrouille tout seul dans les rayons de la supérette explique Robert Ilijason. Le client doit au préalable télécharger l’application et s’enregistrer. Pour ouvrir la porte de l’épicerie, il lui suffit d’un glissement de doigt. A l’intérieur, il est entièrement autonome et scanne lui-même ses produits via son téléphone. Il est ensuite facturé pour ses achats à la fin du mois. Sur les 45m² de l’épicerie, Robert Ilijason ne propose que des produits de base, du lait, du pain, du sucre, des conserves ou des couches. Pas question de vendre de l’alcool ou des cigarettes, qui sont réservés aux magasins d’Etat en Suède, et plus susceptibles d’être volés. Côté sécurité le magasin est équipé de 6 caméras de surveillance, Robert Ilijason reçoit une notification si la porte est ouverte plus de 8 secondes ou si on tente de la forcer. "J’habite à côté, je peux accourir avec un pied de biche" sourit le propriétaire de l’épicerie.

Plus une épicerie de secours qu’un véritable supermarché… Avec son nombre de produits ultra réduit, la supérette de Robert Ilijason est surtout une offre de dépannage et de secours. Il en a d’ailleurs eu l’idée le soir où il avait vidé son stock de pots pour bébé, avec son fils affamé et hurlant sur la banquette arrière, "j’ai dû conduire 20 minutes avant de trouver le premier supermarché ouvert" explique-t-il. Robert Ilijason a donc décidé d’ouvrir sa première supérette 100% libre service dans sa petite ville de Viken. S’il n’embauche aucun personnel et que les clients sont livrés à eux-mêmes à l’intérieur, Robert Ilijason doit encore assurer le réapprovisionnement et la mise en rayon. Les clients peuvent lui faire des suggestions de produit via l’application.

Un concept à adapter aux personnes âgées… "Mon projet est détendre le concept à d’autres villages et petites villes, explique Robert Ilijason à Associated Press, c’est incroyable que personne n’y ai pensé avant" poursuit-il. Mais Robert Ilijason doit aussi mieux adapter le concept aux personnes âgées, qui ne maîtrisent pas les smartphones. Il explique qu’il songe à installer un lecteur de carte bancaire pour déverrouiller la porte d’entrée, ou à embaucher une personne pendant quelques heures par semaine pour assister ceux qui ne maîtrisent pas cette technologie… 

"Pour l'instant, c'est seulement une petite épicerie de village située à Viken en Suède, mais si le concept séduit les consommateurs et quelques financiers, on peut imaginer que cette idée se développe en Europe… "

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…

Posté par le p'tit rapporteur du Magarin

vendredi 5 août 2016

Rio 2016… Les JO au pays de la samba et du carnaval !

Les Jeux olympiques de Rio qui se déroulent du 05 au 21 août, sont marqués par la cérémonie d’ouverture au stade Maracanã de Rio. Ce vendredi 05 août !

Cette cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Rio 2016, qui donne le coup d’envoi officiel de la compétition, est un événement toujours à part et particulièrement suivi à travers le monde, puisqu'on estime entre 500 millions et 1 milliard le nombre de téléspectateurs ! Cette édition brésilienne ne devrait pas déroger à la règle...

Le mythique stade Maracanã de Rio sera le théâtre du spectacle placé sous le signe "de la fête et de l’optimisme". Le réalisateur Fernando Meirelles, à qui l'on doit notamment "La Cité de Dieu" ou encore "The Constant Gardener", a été désigné comme chef d’orchestre de la soirée et sera accompagné d’un autre cinéaste, Andrucha Waddington "La Maison de Sable" ainsi que de Rosa Magalhães, spécialiste des carnavals. Thiaquinho et Projota interpréteront la chanson officielle de ces Jeux : "Alma e Coração".

Puis l’événement de chaque cérémonie fera son apparition… Le défilé des délégations de chaque pays ! Emmené par son porte-drapeau, Teddy Riner a été désigné pour la France.

"Alors préparez-vous, avec le Brésil, pays de la Samba et du carnaval… La danse et les costumes seront au centre des festivités et le show s’annonce une nouvelle fois magnifique !"

Éric.L



                        Posté par le P'tit Rapporteur du Magarin

jeudi 4 août 2016

Festival Interceltique de Lorient… Des celtes sous la croix du sud !

La 46e édition du Festival Interceltique de Lorient se déroule du 5 au 14 août 2016. Un des festivals français les plus importants par son nombre de visiteurs, en accueillant jusqu'à 800 000 visiteurs (750 000 en  2015). Au programme de ces 10 jours, pas moins de 129 spectacles sur scène avec parmi les nombreux invités à l’affiche : Joan Baez, Archie Roach, The Corrs, Alan Stivell, Dan Ar Braz... mais aussi des ateliers, des conférences, les fest-noz, les Nuits Interceltiques et bien sûr la Grande Parade qui réunit chaque année plus de 3000 artistes et représentants des nations Celtes.

Après avoir célébré en 2015 l'Irlande, l'Île de Man, le Pays-de-Galles ou Cornouailles, c'est l'Australie qui est mise à l'honneur cette année avec au programme une soirée d'ouverture Australienne le 6 août et une grande nuit de l'Australie le 8 août. Dix ans après sa première mise à l’honneur, le Festival Interceltique de Lorient vibrera à nouveau aux couleurs de ce pays qui accueille la diaspora la plus lointaine du bassin celte, mais néanmoins l’une des plus importantes de la planète ! La moitié de sa population a des racines celtiques. Le festival célèbre ainsi cette année la culture vivante de ces « celtes sous La Croix du Sud », à travers les concerts, expositions, conférences et films proposés durant ces dix jours. Le grand pavillon du pays à l’honneur, offre notamment une programmation en continu de musique, danses, animations et découvertes gastronomiques.

Cette année, le Festival célèbre aussi trois grands événements : Le 70e anniversaire de Sonerion, l’ancienne BAS, la fédération des bagadoù, inscrite dans l’ « ADN » du Festival Interceltique de Lorient. Aujourd’hui, Sonerion représente 150 bagad et bagadig, soit environ 10.000 musiciens. Le centenaire de la rébellion irlandaise de Pâques 1916, l’événement qui a conduit à l’Indépendance de l’Irlande et qui a eu un grand impact sur l’histoire de la Bretagne et de tous les pays celtiques jusqu’à nos jours. Le Festival a voulu se faire l’écho de cette commémoration avec un concert extraordinaire « 1916, Visionnaires et leurs paroles ». Et enfin, le festival commémore tout particulièrement les 350 ans de la naissance de la ville de Lorient, qui s’est développée autour de la Compagnie des Indes Orientales, et dont la nouvelle cité prend le nom du premier vaisseau construit dans leurs chantiers, le Soleil d’Orient. Un passage consacré à cette célébration est intégré pour cette grande occasion au spectacle des Nuits Interceltiques qui réunit des centaines d’artistes autour d’une féérie de son et lumière.

Les Nuits Interceltiques du festival sont des spectacles phares qui réunissent plus de 500 artistes de la planète celtique au stade du Moustoir. L’année 2016 marque l’anniversaire de la naissance de la ville de Lorient, du temps de la Compagnie des Indes. Un passage consacré à cette célébration est intégré cette année au spectacle et un feu d’artifice clôturera cette soirée féérique.

L'incontournable du festival… La Grande Parade réunit chaque année plus de 3000 artistes et représentants des nations Celtes à travers le monde. Un parcours dans les rue dès 10h pour une arrivée au Stade du Moustoir, la parade réunit Lorient autour des costumes traditionnels, danseurs, musiciens, bagadoù, cercles, pipe bands et bandas de gaita venus de tous les pays Celtes qui défilent pour un spectacle haut en couleur.

"Place d’honneur pour la plus lointaine des diasporas celtes, l’Australie, pour cette 46e édition… Nom d’un kangourou, l’Australie est Interceltique ! Le grand festival breton accueille des Celtes sous la Croix du Sud. L'affiche promet de belles rencontres ! Plus qu'un symbole… 50 % de la population a des origines celtes ! Rien d'étonnant ainsi à fêter, l'année de l'Australie. Sydney est bien la capitale de la Nouvelle-Galles du Sud La diaspora celtique est au plus profond des racines australes. Sans nier l'antériorité du peuple aborigène en Océanie. Les festivaliers découvriront l'un des chantres de cette culture, l'emblématique Archie Roach !"

Éric.L
Informations et programmation : http://www.festival-interceltique.bzh/ et sur La page Facebook du festival


                     Posté par le P'tit Rapporteur du Magarin

mercredi 3 août 2016

La rose trémière… Une fleur au charme champêtre, emblème de l’île de Ré !

Les roses trémières font partie intégrante du paysage de l’île de ré, mais aussi de la Charente-Maritime. On les retrouve dans de nombreux villages. C’est elle qui colore ses villages, les rendant si accueillants et chaleureux.

Cette fleur qui appartient à la catégorie des vivaces, fleurit à la fin du printemps puis durant tout l’été et peut atteindre une taille de 2,5 mètres. La rose trémière se présente sous plusieurs variétés, fleurs simples, fleurs doubles et différentes couleurs. Cette rose particulière, se plaît au soleil et sur un sol riche. Elle a la particularité de se multiplier très facilement. Les graines arrivées à maturité sont semées à l’automne pour une floraison l’année qui suit. Dans les lieux fortement soumis au vent, il est préférable de tuteurer la tige de la plante. Pour conserver plus longtemps une rose trémière, coupez la hampe florale à la fin de la floraison. C'est une plante typique des jardins champêtres, bien que peu d'espèces soient vivaces (la plupart sont bisannuelles). On les classe généralement toutes dans la catégorie des vivaces herbacées en raison de leur grande taille.

Le nom de rose trémière ou rose de trémière serait une altération de « rose d'Outremer », attesté dès 1500, la plante aurait été rapportée de Chine ou du Levant par les croisés du Moyen Âge, aux XIIe et XIIIe siècles lors de batailles contre les Turcs. Pour d'autres, son introduction daterait de l'expansion ottomane en Europe aux XVe et XVIe siècles... Elle est encore appelée passe-rose ou primerose ou bâton de Jacob. Son origine est inconnue (sans doute proche-orientale ou méditerranéenne), c’est une plante cousine des hibiscus, lavatère, mauve, guimauve.
La rose trémière présenterait des vertus médicinales similaires à la guimauve officinale, cependant ses effets sont probablement moins importants. La plante disposerait d'une action adoucissante, émolliente et antiglaireuse.

Le savez-vous ?
- La rose trémière contient des matières colorantes, et elle fut autrefois utilisée pour teindre les tissus en violet.
- Les fleurs de roses trémières sont parfaitement comestibles et se consomment aussi bien crues, en salades, qu’en infusion pour en faire des tisanes.
- Les fleurs de la rose trémière sont un excellent activateur de compost.

"Une belle fleur au charme champêtre vintage destinée au jardin d’agrément. Elle embellit magnifiquement les bordures, massifs et cache aussi les murs ou grillages disgracieux. Sa floraison généreuse dure tout l’été !"

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…

Posté par le P'tit Rapporteur du Magarin