vendredi 30 juin 2017

Tour de France 2017… Une histoire estivale centenaire !

Du samedi 1 juillet au dimanche 23 juillet 2017, le 104e Tour de France, feuilleton estival centenaire autant que fête populaire, s'élancera… de la ville de Dusseldorf (Allemagne) pour 21 étapes en passant par Les cinq principaux massifs montagneux français, jusqu'à l'arrivée à Paris le 23 juillet. Le tour 2017 comprendra 21 étapes pour une distance de 3 540 kilomètres.

Il comportera un total de 23 cols ou côtes et arrivées en altitude classés en deuxième, première ou hors catégorie.

Leur répartition est la suivante :
- 1 dans les Vosges
- 6 dans le Jura
- 8 dans les Pyrénées
- 2 dans le Massif central

 Il visitera trois pays limitrophes : l’Allemagne, la Belgique et le Luxembourg. En France, 34 départements seront traversés.

Pour ce tour de France 2017, nous aurons droit à :
- 9 étapes de plaine
- 5 étapes accidentées
- 5 étapes de montagne avec 3 arrivées en altitude (La Planche des Belles Filles, Peyragudes, Izoard)
- 2 étapes contre la montre en individuel
- 2 journées de repos

"Le cyclisme est un sport individuel qui se court en équipes et qui revêt toute sa mythologie dans le duel. L’histoire du Tour c’est aussi et surtout, l’opposition d’un homme contre un autre homme. Ils s’apprécient, se détestent, se craignent ou s’ignorent, mais savent bien au fond d’eux que leur sort est lié. Parce que sans Poulidor, Anquetil ne serait pas tout à fait Anquetil. Les rivaux sont comme deux amoureux… Fâchés ou pas, on ne peut pas les séparer !" 

Éric.L
Pour plus d’informations : http://www.letour.fr/fr/

Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin

jeudi 29 juin 2017

Promenades et découverte de lieux et endroits de France.... A la découverte de Bonifacio !

Bonifacio, est  une ville magnifique de la pointe sud de l'île de beauté, mais elle cache un visage à deux faces... Entre mer et haute ville fortifiée, elle possède un charme incomparable, qui séduit dès le premier regard par son architecture sortie tout droit de l'imaginaire !

Sa rangée de maisonnettes en calcaire posées sur les falaises blanches rongées par l'érosion. La haute ville, située sur un piton rocheux fut un lieu partagé par plusieurs civilisations, ce qui lui vaut aujourd'hui sa grande diversité architecturale. La forteresse, qui s'élève magnifiquement au dessus du port, offre une visite agréable à travers ses ruelles étroites, où les hautes maisons se dressent à l'infini. On peut y pénétrer par deux entrées, qui sont en fait deux anciens ponts levis, à l'exemple de la Porte de Gênes. Ici le soleil vient se réfléchir sur le blanc des façades, et il est agréable de se promener dans les Jardins de Carotolla, les arches de l'Archivolto, en passant par le point central de cette ancienne cité… l'église Ste Marie-Majeure (XIIe siècle), principal et plus ancien édifice de Bonifacio.  Au milieu des ruelles animées, se trouve la maison du Podestat , ancienne demeure qui représentait l'autorité de la république de Gênes dans la ville, à partir des années 1270. On ne se lasse pas d'admirer cette belle citée chargée d'histoire, perchée en porte-à-faux sur la falaise… très spectaculaire et une vue incroyable du haut de cette ville !

“Difficile de ne pas tomber sous le charme de cette ville n’est-ce pas ? Bonifacio est magique, et vous ne pouvez-pas venir en corse sans y faire un tour, histoire de tomber définitivement amoureux de l’île de beauté qui n’a pas volé son nom !“

Éric.L




                                    Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin

vendredi 23 juin 2017

Bordeaux… Sacrée ville françaises où l’on mange le mieux au restaurant !

Bordeaux peut afficher fièrement une nouvelle distinction à son palmarès. Après le titre de ville la plus tendance du monde, celui de meilleure destination européenne, ou encore première des lieux à visiter en 2017, voilà que Bordeaux rafle un nouveau titre annuel. Et pas n'importe lequel, puisque celui-là concerne un pan de la vie qui nous est cher… la gastronomie! La ville de Bordeaux vient en effet de remporter le titre de “la ville française où l’on mange le mieux au restaurant” devant Paris et Lyon selon le site gastronomique Atabula.

Pour ce classement, le site d’information sur la gastronomie et l’alimentation Atabula, en partenariat avec le géant de la distribution Metro, a retenu les 30 villes les plus peuplées de France. Ce classement prend en compte une dizaine de critères parmi lesquels le nombre de restaurants, le nombre de tables distinguées par les guides Michelin, Gault&Millau, Fooding et les mieux notées sur le site La Fourchette. Mais aussi le nombre de membres de l'association des Maîtres restaurateurs, du Collège Culinaire de France, le nombre de Meilleurs ouvriers de France. Les données sont ensuite pondérées par le nombre d'habitants, ce qui explique que « Bordeaux devance Paris et Lyon, villes dans lesquelles le nombre de restaurants étoilés ou toqués est certes plus important », précise Atabula.

Si Bordeaux n’a pas l’historicité gastronomique de Lyon ou Paris, elle a toutefois su accueillir une nouvelle offre culinaire, diverse et qualitative, estime le site, soulignant que de nombreuses tables dites "bistronomiques" [y] ont émergé. Le cadre de vie et le pouvoir d’achat des Bordelais ne sont pas étrangers à cette émergence significative, ajoute-t-il. Bordeaux devant Paris, ce qui en surprendra sûrement plus d'un, ainsi que Lyon, seulement troisième avec ses "bouchons".

"D'une ville réputée bourgeoise, repliée sur elle-même, Bordeaux est devenue sudiste. Entre 2000 et aujourd’hui, la fréquentation touristique a triplé, passant de deux à six millions de visiteurs ! Avec cette nouvelle distinction, encore une bonne raison de faire escale à Bordeaux… et un prétexte parfait pour réserver une table et féliciter vos chefs bordelais favoris !"

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…

Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin

jeudi 22 juin 2017

Pavillon bleu 2017… Un précieux label !

Le fameux label Pavillon Bleu créé en 1985, est une distinction de la Fondation pour l’éducation à l’environnement en Europe. Celui-ci récompense une bonne gestion de l'environnement, des déchets et de l'eau pour les plages ou les ports. 

Cette année, ce sont 173 communes françaises, qui étaient candidates à cette distinction représentant 390 plages et aussi 102 ports de plaisance qui ont été récompensés. En 2016, il avait été décerné à 170 communes représentant 400 plages et à 98 ports de plaisance maritimes et continentaux (à l'intérieur des terres). En Charente maritime, 18 plages de 7 communes ont reçu ce label. Deux nouveau lieux de baignade obtiennent le sésame : la plage de Foncillon à Royan et celle des sables-Vignier-Les bonnes à Saint-Georges d’Oléron. 

Voici la liste des Pavillons Bleus attribués en Charente-Maritime :

Pour les plages…
- La Rochelle : Chef de Baie.
- Le-Bois-Plage-en-Ré : Gros- Jonc, Les Gollandières.
- Le-Grand-Village-Plage : Plage de la Giraudière.
- Royan : La Grande Conche, Le Chay, Le Pigeonnier, Pontaillac, Foncillon.
- Saint-Georges-D’oléron : Plage de Boyardville, Plage des Saumonards-La Gautrelle, Plage du Douhet-Plaisance, Plage des Sables Vignier-Les Bonnes.
- Saint-Georges-de-Didonne : Plage Conche Sud, plage Conche Nord, plage de Vallières.
- Saint-Trojan-les-Bains : La grande plage, Gatseau.

Pour les ports…
- Port de Plaisance de La Flotte.
- Port de Saint-Denis d’Oléron.
- Port de Plaisance de la Rochelle.

Deux communes ont perdu cette année leur Pavillon bleu. Il s'agit de St-Palais-sur-Mer (plage du Bureau) et de St-Denis-d'Oléron (plage de La Boirie-l’Ancien Port et plage Les Huttes-Les Seulieres).

L'obtention du label suppose de répondre à une série de critères très rigoureux. Ainsi pour les plages, il faut une eau de baignade de "qualité excellente" avec cinq contrôles par saison, un point d'eau potable, des poubelles sur la plage, la collecte sélective d'au moins trois types de déchets, une politique de recyclage et la mise en place d'actions d'éducation à l'environnement. Les communes doivent aussi payer des frais d'inscription qui s'élèvent à 800 euros et ensuite à nouveau payer pour les drapeaux, ce qui monte les frais d'obtention du label à 1200 euros. Pour les ports, les critères concernent la prévention des pollutions et le traitement des déchets, ainsi que le traitement des eaux usées des bateaux, des boues de dragage ou des liquides polluant les cales.

"Des critères qui sont jugés de plus en plus rigoureux et toujours plus exigeants par certaines communes, qui préfèrent parfois renoncer à ce label pourtant jugé bénéfique pour le tourisme. C'est le cas à St-Denis- d'Oléron, qui après s'être inscrite a préféré abandonné devant l'accumulation des critères à respecter !"

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…


Carte des plages qui ont le Pavillon bleu en 2017 ! (cliquez sur l'image)
                                      Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin


jeudi 15 juin 2017

L'hôpital des Pèlerins de Pons… un prestigieux témoin du patrimoine jacquaire !

La ville de Pons recèle d’un riche patrimoine roman du XIIe siècle, avec son imposant donjon, l'église Saint-Vivien, la chapelle Saint-Gilles, mais également de l'hôpital des Pèlerins.

Au Moyen-âge, les pèlerinages de par les chemins de Saint-Jacques de Compostelle battaient leur plein, et ils étaient ainsi nombreux à traverser la Saintonge. Pons (que l'on prononce « Pon »), faisait partie des étapes qui composaient cette route. C'est au milieu du XIIe siècle (entre 1156 et 1180), pour faire face à l'affluence des pèlerins, que Geoffroy III, alors seigneur de Pons, décida la construction d'un hôpital pour suppléer à l'hospice Saint-Nicolas, à la capacité insuffisante. Surnommé dès lors « l'hôpital neuf », on prit soin d'implanter ses bâtiments à l'extérieur de la cité, d'une part pour accueillir la nuit après la fermeture des portes, de l'autre pour se protéger des risques de contagions et d'épidémies allant de paires avec les voyageurs malades.

L'hôpital se compose de la salle des malades, dont le nom ne laisse pas de doute quant à son utilisation, et d'une église aujourd'hui disparue. Ces deux éléments étaient reliés par un passage voûté toujours existant, dans lequel on observe encore les nombreux graffitis gravés dans la pierre. Un jardin médiéval a été reconstitué à la place de son prédécesseur du XIIIe siècle. L'ensemble de l'hospice fut bâti dans un style roman saintongeais, et son activité perdura jusqu'au XVIIIe siècle. Il est l'un des plus anciens ensembles hospitaliers d'Europe à avoir été conservé et est à ce titre inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco depuis 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France. Il est également classé monument historique depuis le 8 octobre 1879 pour son passage de l'hôpital, inscrit depuis le 29 décembre 1997 pour ses logis et classé depuis le 16 juin 1998 pour l'ancienne salle des pèlerins, les vestiges de l'ancienne église et le pavillon au gros œuvre médiéval.

"Un ensemble hospitalier médiéval, qui est aujourd’hui un prestigieux témoin du patrimoine jacquaire. Cet édifice brille par son état de conservation, ce qui lui vaut son inscription sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Une visite s’impose pour le pèlerin de la Voie de Tours !"

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…


             
                                  Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin

vendredi 9 juin 2017

Le musée de La Rue du Temps qui Passe… En route pour un voyage dans le temps !

Un musée situé à Allas-les-mines au cœur du Périgord Noir, à mi chemin entre St Cyprien, Beynac et Cazenac, qui reconstitue grandeur nature non pas une, mais plusieurs rues ! Et qui d'emblée, vous saisit pour une plongée dans cette histoire commune du début 20ème siècle, faite de vieilles limousines d'apparat, de chapeaux crinoline…

Il ne ressemble pas à un musée traditionnel, mais plutôt à un village 1900 qui aurait surgi du passé. On entre dans un village avec ses ruelles, ses 28 échoppes toutes différentes, sa place, son café et même sa chapelle. Les objets sont dans des vitrines qui représentent autant de commerces ou d’activités parfois oubliées. Le tout sur un bâti couvrant 1000 m2.

C’est une affaire de famille, puisque c'est un père et sa fille qui s'en occupent. Le père, grand collectionneur devant l'éternel, a conservé absolument tous les objets qui lui semblaient importants, une notion très large.... Pour pouvoir remonter dans le passé, le temps d'une promenade dans les rues commerçantes du début du siècle dernier.

"Une mémoire commune du temps où l'automobile faisait ses premiers tours de roues, le temps où le rémouleur affutait les couteaux dans la rue, le temps où le cordonnier confectionnait les souliers… Le temps où la fée électricité ne rayonnait pas encore !"

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…
Pour plus d’information : http://musee-laruedutempsquipasse.fr/


                
                                        Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin 

vendredi 2 juin 2017

L'abbaye aux Dames de Saintes… Du silence monacal à la cité musicale !

Fondée en 1047, l'Abbaye aux Dames est une ancienne abbaye bénédictine située à Saintes, en Charente-Maritime. Établie sur la rive droite du fleuve Charente, tout près de l'ancienne basilique funéraire de l'évêque Pallais. Elle fut un des établissements monastiques les plus puissants de la France de l'Ouest et elle a traversé les vicissitudes de l'histoire pour devenir aujourd'hui un pôle majeur de rayonnement culturel et musical. Elle compte aussi parmi les monuments les plus prestigieux de l'art roman et classique de la Saintonge, au cœur de la Charente-Maritime.

L'histoire de l'église de l'abbaye-aux-Dames remonte à la fin du VIe siècle, quand un premier sanctuaire est construit par l'évêque de Saintes, mais Les invasions le mirent à sac. Le comte d'Anjou et sa femme, Agnès de Bourgogne, firent une nouvelle donation et les filles de Saint Benoît s'installèrent dans les lieux dès 1047. Les donations se multipliant, la prospérité suivit. L'abbesse de Saintes, qui venait toujours d'une grande famille, était une autorité respectée et puissante. L'abbaye était rattachée directement au pape. Vers 1145-1150, il fallut tout rebâtir. À cause de l'exiguïté(?) À cause de la fragilité(?) On ne sait. De cette époque date l'église Notre-Dame que l'on visite aujourd'hui. En 1378 L'abbaye est placée sous la protection du roi de France, richement dotée, son influence s'étend bien au-delà des frontières du comté de Saintonge et du duché d'Aquitaine, et elle devient au fil du temps un des plus puissants monastères de femmes de tout le Sud-Ouest français. Comptant jusqu'à cent moniales à son apogée, elle se voit confier la mission d'instruire les jeunes filles souvent issues de la noblesse française. Elle compte notamment parmi ses pensionnaires, la future marquise de Montespan.

Pendant les guerres de Religion, elle manqua d'être démolie par les chefs protestants, et en 1648, un incendie ravagea l'église et les bâtiments conventuels. L'ensemble fut restauré. A la Révolution en 1792, les moniales sont chassées de L'abbaye et celle-ci devient une prison. En 1808, elle est cédée à la ville de Saintes à charge pour elle de la transformer en caserne et en prison. Sous la Restauration, des démarches sont effectuées pour que l'ensemble soit rendu au culte et aux moniales. Mais le projet avorte par l'entremise de l'évêque de la Rochelle. Après une grave alerte sur le devenir de l'église (que le Génie Militaire voulait détruire), et une autre sur la façade romane prévue pour Saint-Vivien, puis pour un musée lapidaire, la ville rachète l'église en 1924. Après travaux, elle est rendue au culte en 1939. Les bâtiments conventuels, abandonnés après la guerre, sont restaurés en 1970-1980.

L'abbaye aux Dames se structure autour de l'église romane Notre-Dame, érigée au XIIe siècle. Célèbre pour sa façade et son clocher caractéristique « en pomme de pin », elle est un des monuments emblématiques du roman saintongeais. De style roman saintongeais, c'est sa façade et son clocher qui tout de suite retiennent l'attention. Le clocher est à deux étages, l’étage inférieur carré, l’étage supérieur circulaire, surmonté d’un toit conique à écailles. Ce clocher nous rappelle celui de Notre-Dame-la-Grande à Poitiers. Les bâtiments conventuels, de style classique, datent du XVIIe siècle. Ils ont été relevés par l'abbesse Françoise de Foix, après avoir durement souffert des guerres et de plusieurs incendies. Restaurés au cours des années 1970 et 1980, ils ont été convertis en centre culturel et sont désormais au cœur de la « cité musicale ». Le Festival de Saintes, le Jeune Orchestre de l'Abbaye aux Dames, un programme d'éducation artistique et le site historique de l'abbaye en sont les piliers et la source de rayonnement. La cité musicale est à la fois un lieu de formation pour les musiciens du monde entier, un lieu de spectacle et de création musicale, un lieu de spiritualité, d'hospitalité et de découvertes artistiques. L'abbaye aux Dames est inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1948.

"Il y a toujours de bonnes raisons d’aller à l’Abbaye aux Dames de Saintes. C’est d’abord un superbe site à visiter, un des joyaux de l’art roman saintongeais, mais l’Abbaye aux Dames c’est aussi un lieu de culture actif, expositions, concerts, conférences, séminaires, colloques…"

Source d’inspiration : World Wide Web…
Pour plus d’information : http://www.abbayeauxdames.org/


Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin