Le salon du chocolat 2017 de Paris… Ou le grand voyage des sens !

Crée en 1995, le salon du chocolat qui se déroule à Paris (porte de Versailles) du 28 octobre au 01 novembre, est le rendez-vous mondiale incontournable et à ne manquer sous aucun prétexte pour tous les passionnés de chocolat !

Pour la célébration de cette 23ème édition du Salon du chocolat de Paris, les organisateurs ont choisi comme thème… "Et si les chocolatiers et pâtissiers étaient les Nouveaux Aventuriers". Avec plus de 500 participants venus de 60 pays dont 200 chefs et chefs pâtissiers de renom, le Salon du Chocolat de Paris est l’évènement gourmand préféré des français. C’est aussi la plus grande offre de chocolats venus des 5 continents, avec la présence des pays producteurs de cacao, le tout sur 20.000m2 d’exposition-spectacle pour petits et grands. Curieux, passionnés de chocolat et professionnels trouveront leurs comptes pendant ce salon. En effet, cette édition sera une initiation à un voyage gustatif et la découverte d’expérience gastronomique, culturelle et festive autour du chocolat.

Lors de ce Salon du Chocolat de Paris, les visiteurs pourront également participer aux défilés de robes en chocolat autour du thème « la Grande Aventure du Chocolat », au Pasty Show, mais aussi aux ateliers et Conférences sur le chocolat… qui en plus de mettre en valeur le savoir-faire de chocolatiers et pâtissiers, est une occasion de découvrir les origines mondiale du cacao. 

"Ce salon, est une initiation à un voyage gustatif et à la découverte d’expérience gastronomique, culturelle et festive autour du chocolat… Préparez-vous à une parenthèse gourmande, mais aussi à un grand voyage des sens !"

Éric.L

Source d’inspiration : World Wide Web…

Pour plus d’informations : http://www.salon-du-chocolat.com/

Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin

Du cloître des Récollets... A la maison des vins de Bergerac !

Situé à Bergerac dans le département de la Dordogne et faisant partie du Périgord Pourpre. Le couvent des Récollets et sa chapelle est un lieu qui associe l’histoire de Bergerac et celle du vignoble bergeracois !

Cet ensemble architectural, qui abrite de nos jours la maison des vins de Bergerac à été construit en 1630, pour accueillir des moines mendiant de l'ordre des Franciscains. Après les guerres de religion, Bergerac était devenu la capitale du Calvinisme en Périgord et Pour ranimer le culte dans la cité, l’évêque de Périgueux, fit appel aux religieux Récollets. Lors de sa visite à Bergerac, Louis XIII leur accorde les jardins du château pour y construire un couvent avec pour mission de ranimer la foi catholique à Bergerac. Les moines bâtirent un harmonieux ensemble qui se compose un beau cloître doté d’un four à pain, ainsi qu’une chapelle. Après le départ des moines, à la Révolution, les Protestants qui étaient jusqu’alors privés de lieu de culte, transforment la chapelle en temple. Puis le couvent appartiendra quelque temps au docteur Cayla, chirurgien réputé (1854-1926) dont la place porte encore le nom. Le cloître des Récollets est aujourd’hui le cœur de la Maisons des vins de Bergerac. Depuis la cour on peut rejoindre les caves voûtées, lieu des grandes réceptions des Consuls de la Vinée. Clou du spectacle… des festivals y sont régulièrement organisés ainsi que des concerts souvent donnés ! 

Le cloître est un magnifique ensemble architectural qui présente des galeries en bois du XVIe siècle et XVIIIe siècles !  En son centre, un magnifique paulownia bicentenaire, arbre chinois ornemental aux fleurs mauves odorantes. Le paulownia est un arbre originaire du nord de la Chine et de la Corée, mais on le trouve aussi au Japon.

"Le cloître des Récollets, a l’incontestable atout de susciter la visite autant pour la beauté du site que pour le goût des vins… et rares sont les Maisons des vins qui peuvent se vanter d’avoir trouvé refuge dans un site aussi remarquable !"

Éric.L 

Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin

Par delà l’emprise de l’Arc Germanicus… La cathédrale Saint-Pierre de Saintes Nous apparaît !

L’Arc Germanicus de Saintes qui s’élève sur la rive droite de la Charente a été construit vers 18-19 après J. C. Il était implanté à l’entrée du pont romain qui franchissait la Charente. Il fut offert à la ville par un notable Santon romanisé d'origine gauloise (Caius Julius Rufus) et dédié à l'empereur Tibère, à son fils Drusus et à son neveu Germanicus (qui lui a donné sa dénomination). Lors de la démolition du vieux pont en 1843, l’arc fut sauvé grâce à Prosper Mérimée et remonté sur la nouvelle berge. Classé monument historique en 1905.

La cathédrale Saint-Pierre de Saintes, de style gothique flamboyant du XVème siècle, étonne par son clocher porche massif et imposant ! Cet édifice est caractérisée par le contraste entre l’architecture de son clocher et la subtilité de son portail sculpté. La pierre si finement travaillée s’apparente à de la dentelle raffinée ! La cathédrale Saint-Pierre de Saintes est classée monument historique depuis 1862. Le cloître canonial qui lui est attenant, est lui classé monument historique en 1937.

Éric.L

Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin

Un grand vin Rochelais… Oui mais il y a plusieurs siècles !

Le saviez-vous... un grand vin, à La Rochelle ? Eh oui… s’il y a belle lurette que le raisin ne se ramasse plus autour de La Rochelle et que les vignes ont disparu du paysage rochelais ! La viticulture fit pourtant autrefois la fortune et la gloire de la ville. Et au Moyen Âge, le vin rochelais fut même l’un des crus les plus renommés…

Bien avant le Moyen Âge, la vigne était cultivée sur cette terre ! Des villas antiques fouillées par les archéologues ont révélé les traces de bassins, où l’on foulait du pied le raisin pour en extraire le jus. Mais ce n’est que bien des siècles plus tard que le pays rochelais s’habilla de feuilles de vignes. La viticulture fut ainsi, en partie, à l’origine de l’essor du commerce maritime rochelais, quasiment dès la naissance officielle de la ville, vers 1130, après la chute de Châtelaillon. Le premier grand vignoble de l’Aunis apparaît vers le XIIe siècle. Un siècle, qui fut une période de forte croissance économique, due notamment à plusieurs raisons… la douceur du climat, la stabilité du pouvoir politique, l’utilisation de nouvelles techniques (moulins à eau et à vent), les grands défrichements et la croissance démographique. Le territoire était couvert de vignobles à 90 %, de La Rochelle à Esnandes. C’étaient de petites parcelles, bordées de haies et de chemins. Deux marchés importants se développèrent en parallèle à La Rochelle : le vin et le sel, tous deux favorisés par le soleil et l’océan. On paria à l’époque sur le succès de ces deux denrées, à forte valeur ajoutée. Quitte à devoir importer les céréales et à dépendre d’autres régions ! « Sachez qu’il y a dans le royaume abondance de vin en trois endroits : La Rochelle, Beaune et Auxerre », écrivait le moine italien Salimbene, en 1248, témoignant de l’importance du vignoble rochelais, qui englobait en fait l’Aunis. Car les appellations n’existaient pas encore, mais il fallait bien donner un nom à ce vin. On le baptisa donc du nom de la ville d’où il était exporté… Vin de La Rochelle !

Le vin de l’époque n’avait sans doute rien à voir avec les crus que l’on connait aujourd’hui. Certains étaient peut-être même proches de la piquette ! C’est peut-être la raison pour laquelle ils étaient appréciés en Europe du Nord, où il faisait un peu plus froid. L’autre explication est que, grâce à son port, qui donnait un accès direct à l’Atlantique, le vin de La Rochelle était plus facile à transporter que celui de Bordeaux, donc moins cher. Il tenait, en tout cas, plus du vin de table que du vin de prestige. Il fallait le consommer dans l’année, les conditions de conservation n’étant pas ce qu’elles sont aujourd’hui ! La production de vin rochelais décline lentement au cours de la Renaissance. À partir du XVIe siècle, les rochelais se sont lancés dans d’autres investissements… La découverte d’un Nouveau monde ouvre en effet de nouveaux débouchés, qui verront naître une autre forme de commerce maritime, triangulaire celui-là…

"De nos jours, Le vin Rochelais n’est plus… Néanmoins rassuré vous, il a été remplacé par le cognac et le pineau autres gloires ! Mais cela est un autre chapitre..." 

Éric.L

Source d’inspiration : « Commerce maritime rochelais à la fin du Moyen Âge », de Mathias Tranchant (Presses Universitaires de Rennes, 2003). Autres sources : « Histoire de la vigne et du vin en France, des origines au XIXe siècle », de Roger Dion, Paris, 1959) ; « Œuvres de Henri d’Andeli », d’Alexandre Héron (A. Claudin, 1881).

Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin

Jean Rochefort… Disparition de l’acteur élégant du cinéma français !

Impossible de ne pas être touché par l’annonce de la mort de Jean Rochefort, décédé ce lundi 9 octobre à Paris, à l’âge de 87 ans. Figure incontournable du cinéma français, Jean Rochefort incarnait l’élégance, la classe et le port de la moustache. Il était aussi et surtout un immense comédien amoureux du jeu et des mots ! 

Né le 29 avril 1930 à Paris, Jean Rochefort restera l'un des acteurs les plus populaires du cinéma français. Il débute sa carrière avec la "bande du Conservatoire" national supérieur d'art dramatique à Paris, dans les années 1950, composée de ses amis Jean-Pierre Marielle, Claude Rich, Jean-Paul Belmondo ou encore Annie Girardot. Immédiatement reconnaissable à sa voix chaude et ses belles moustaches, Jean Rochefort a tourné près de 150 films, aussi bien de cinéma d'auteur que populaire. Parmi ses illustres films, devenus des classiques du cinéma français, figurent "Un éléphant ça trompe énormément", "Le Crabe-tambour", "Ridicule", "Le grand blond avec une chaussure noire" ou encore "Le Mari de la coiffeuse". Libertin cynique dans "Que la fête commence" de Bertrand Tavernier, il incarne un flegmatique valet anglais dans "Les tribulations d'un chinois en Chine" de Philippe de Broca ou un personnage poignant d'animateur radio solitaire dans "Tandem" de Patrice Leconte.

Monstre sacré du cinéma français, Jean Rochefort avait notamment obtenu le César du meilleur acteur dans un second rôle pour «Que la fête commence» (1976) de Bertrand Tavernier et le César du meilleur acteur pour «Le Crabe-tambour» (1978) de Pierre Schoendoerffer. En 1999, il avait également reçu un César d'honneur, couronnant l'ensemble de sa carrière.

"Jean Rochefort, un grand Monsieur qui incarnait avant tout… une allure, un flegme, une élégance ! Et qui laissera imprimer en nous tant de jolies choses… "

Éric.L

Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin

Le Caveau de la Huchette… Un club de jazz témoin de l’époque révolutionnaire !

Un lieu historique situé dans le 5eme arrondissement de Paris, qui a été tour à tour le rendez-vous des templiers, de loge secrète franc-maçonnique, et pendant toute l'époque révolutionnaire, il est Appelé "Caveau de la Terreur" !

Durant cette époque, celui-ci abrite les clubs des Cordeliers et des Montagnards. Dans la salle supérieure, convertie en taverne, on y boit, chante et discute de la liberté. Les principales figures de la Convention s'y retrouvent: Danton, Marat, Saint-Just, Robespierre… et sur place ont été rendus de nombreux jugements suivis d'exécutions. Vous y trouverez successivement : le tribunal, la prison, la salle d'exécutions. Dans la salle la plus basse il existe encore un puits très profond destiné à faire disparaître les crimes qui y étaient commis. Les différentes salles sont d’une authenticité historique incontestable et conservées dans leur état primitif.

"De nos jours... ce lieu historique chargé d'histoire, est devenu un club mythique du jazz parisiens et qui grâce au film « La La Land » attire de plus en plus de monde !"

Éric.L

Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin

Promenades et découverte de lieux et endroits de France.... À la découverte du château de la Rochefoucauld !

La Rochefoucauld est une petite ville de 3000 habitants, a 22 km d'Angoulême, en direction de Limoges. L’élément emblématique de cette petite ville est assurément son château ! Et ce serait dommage de passer à côté de l'un des plus beaux châteaux de la région qui est un florilège de sept siècles d'architecture ! Classé au titre des Monument Historique en 1955.

Ce château est une ancienne forteresse médiévale embellie au XVIe siècle et développé à partir d'une forteresse datant de 1026, construite par les évêques d’Angoulême.  Le donjon en étant l'élément le plus ancien de l'actuel château. Le châtelet médiéval et ses deux tours qui marquent l'entrée fût édifié au XIVe siècle, les autres hautes tours d'angle un siècle plus tard. François II de La Rochefoucauld (compagnon du roi François 1er) réaménage le château dans un magnifique style renaissance, tout en conservant certaines parties anciennes. Ainsi, sont aménagés deux corps de logis, des galeries à arcades superposées sur trois étages selon un modèle italien (palais Farnèse), très rare en France que l'on observe de la cour d'honneur. On peut y voir aussi un grand escalier en colimaçon renaissance  dont certains disent qu'il a peut-être été dessiné par Léonard de Vinci ( ?) Le château compte également une riche bibliothèque (fin du XVIIIe siècle) contenant plus de 20000 ouvrages installés dans plusieurs salles aménagées à cet effet.

De par la diversité et l'élégance de son architecture, le château de La Rochefoucauld mérite d'être classé parmi les plus spectaculaires en France… Un joyau de la renaissance ! Il est la demeure de la famille La Rochefoucauld depuis plus de mille ans ! La ville de La Rochefoucauld, qui est surtout connue pour sa famille et son château… mérite aussi une visite. La cité a conservé un pont en dos d'âne qui enjambe la Tardoire, quelques maisons à colombages et de beaux hôtels particuliers de la Renaissance...

Éric.L

Source d’inspiration : World Wide Web…

Pour plus d’information : http://www.chateau-la-rochefoucauld.com/

Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin

APL, retraites, tarif du gaz, vapotage, "photo retouchée"… Ce qui change au 1er octobre !

Baisse des APL, hausse du gaz, revalorisation des pensions de retraite, interdiction de vapoter dans les lieux publics, mention "photo retouchée" sur les images de mannequins qui ont été modifiées… Voici donc tout ce qui change en bien... ou en mal pour votre portefeuille ce 1er octobre  !

·         Baisse des APL…

Tous les bénéficiaires de l’aide personnalisée au logement (APL) vont toucher cinq euros de moins par mois. Une mesure qui concerne 6,5 millions de ménages français. Jusqu’ici, en moyenne, un bénéficiaire de l’APL touchait 225 euros par mois mais les montants de l’APL varient selon la zone de résidence. Pour une personne seule, le montant maximum de l’APL en zone 1 (Île de France) s’élevait à 292,85 euros et à 255,23 euros en zone 2 (agglomérations de plus de 100 000 habitants et Corse). En zone 3 (toutes les autres agglomérations), le montant s’élève à 239,31 euros. Ce sera désormais moins. Le gouvernement a promis qu’aucune baisse supplémentaire n’était prévue en 2018. 

La baisse des APL a provoqué la colère des étudiants, qui sont près de 800 000 à en bénéficier !

·         Revalorisation des pensions de retraite…

Après trois années de quasi-gel, le montant de la pension de retraite de base va augmenter de 0,8%. Cette revalorisation concerne les régimes dits alignés, à savoir le régime général des salariés du privé, le régime social des indépendants (RSI) et la Mutuelle sociale des agriculteurs (MSA). Indexée sur les prix, la revalorisation annuelle des pensions, qui a lieu chaque 1er octobre, était gelée depuis 2013 en raison de l’inflation quasi nulle.

·         Les tarifs du gaz augmentent…

Les tarifs réglementés du gaz naturel, encore appliqués par Engie à plusieurs millions de clients en France, augmentent en moyenne de 1,2% au 1er octobre. Les tarifs réglementés augmentent de 0,4% pour les consommateurs qui utilisent le gaz pour la cuisson, de 1,2% pour ceux qui l'utilisent pour se chauffer et de 0,7% pour ceux qui en font un double usage chauffage et cuisson. Il s'agit de la première augmentation des tarifs réglementés depuis le mois de mars et elle s'explique par la hausse du prix du gaz sur les marchés de gros.

·         La cigarette électronique interdite dans les lieux publics…

Il sera désormais interdit de vapoter dans certains lieux accueillant du public : "les établissements scolaires et les établissements destinés à l’accueil, à la formation et à l’hébergement des mineurs", et "dans les moyens de transport collectif fermés"(tram, bus, train, métro…). Le vapotage est également interdit au travail, dans un open space, mais reste possible dans un bureau individuel. Les fumeurs qui ne respectent pas cette interdiction risquent une amende pouvant aller jusqu’à 150 euros. Le décret impose également la mise en place d’une "signalisation apparente" dans les lieux où le vapotage est interdit, au risque de payer une amende de 450 euros pour le responsable des lieux qui n’aurait pas installé la signalisation requise.

Vapoter en open space est interdit. 

·         Mention "photo retouchée" obligatoire…

À partir du 1er octobre, "il sera obligatoire d’accompagner les photographies à usage commercial de la mention 'photographie retouchée’ lorsque l’apparence corporelle des mannequins a été modifiée par un logiciel de traitement d’image, pour affiner ou épaissir leur silhouette". Cette obligation concerne les photographies "insérées dans des messages publicitaires" dans la presse, sur des affiches, sur internet ou encore dans les catalogues et prospectus. Selon le ministère de la Santé, cette mesure vise "à agir sur l’image du corps dans la société pour éviter la promotion d’idéaux de beauté inaccessibles et prévenir l’anorexie chez les jeunes".

La mention "photo retouchée", vise notamment à prévenir l’anorexie. 

·         Le plafond du paiement sans contact augmente…

Le plafond autorisé pour les paiements sans contact par carte bleue va passer de 20 à 30 euros. A noter toutefois que les cartes actuellement équipée du "sans contact", ne permettront pas de bénéficier de ce nouveau plafond. Les nouvelles seront émises à partir du mois d’octobre et le parc ne sera entièrement renouvelé qu’en 2020.

·         Assurance chômage : hausse des cotisations patronales… 

Le taux de cotisations patronales d’assurance chômage passe de 4 à 4,05% du salaire brut pour l’ensemble des contrats, pour une durée maximale de 36 mois. La mesure doit rapporter, chaque année, environ 270 millions d’euros à l’assurance chômage. Le patronat a concédé cette hausse de cotisations chômage, moyennant une baisse identique (-0,05 point en juillet) des cotisations au régime de garantie des salaires (AGS), distinct du régime d’assurance chômage. Les cotisations salariales restent, elle, à 2,4%, mais l’Etat compte les supprimer au 1er janvier en les compensant par une hausse de la CSG.

·         Validation des acquis et de l’expérience : de nouvelles modalités…

La Validation des Acquis de l’Expérience (VAE) permet de faire valoir son expérience professionnelle ou extra-professionnelle et de la sanctionner par un diplôme, un titre professionnel ou une certification (CQP), notamment dans le but d’évoluer. Les modalités de mise en oeuvre de la VAE changent au 1er octobre. Parmi les avancées notables, un an d’expérience en milieu professionnel suffit désormais, contre 3 ans jusqu’ici.

Éric.L

Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin