Un peu d’histoire…
C'est en 1946 que le vinyle est devenu le matériau favori des fabricants de disques. Dès lors, ce support a dominé le marché de la musique, d'abord aux Etats-Unis, puis en France dans les années 1950 grâce à Eddie Barclay. L'âge d'or du disque vinyle a duré jusque dans les années 1980 et à l'avènement du CD ou disque compact, commercialisé à partir de 1982. Les années 1990 sonnent le glas des disques vinyles, qui continuent à exister de façon marginale tandis que les CD eux sont en plein essor. Puis vient ensuite le MP3 et les téléchargements, pour en arriver à la musique dématérialisée que l’on connaît aujourd’hui. Pourtant, le vinyle n'est pas mort pour autant et réapparaît chez les disquaires indépendants dans les années 2000. On doit ce retour en grâce aux professionnels de la musique et notamment aux DJ qui cherchent l'inspiration avec ce support vintage.
Le saviez-vous…
703 000 euros ! C'est la somme qu'a déboursé un fan fou furieux des Beatles (on imagine), pour acquérir un exemplaire du "white album" (rapport à la couleur de la pochette) du groupe. Évidemment, il ne s'agissait pas d'une copie lambda sur le net mais du numéro 0000001, autrement dit le tout premier disque pressé de ce mythique double album des Beatles sorti en 1968, une pièce ultra rare ! Officiellement certifié comme étant le vinyle le plus cher du monde par le Guinness World Records édition 2017. À ce prix là, on en espérait pas moins. Il pique ainsi là place d'un album d'Elvis Presley qui avait été vendu 272 000 euros. Ainsi, comme le disait si bien ma grand-mère… "C’est dans les vieux pots qu'on fait la meilleure soupe" !
Eric.L
Source
d’inspiration : World Wide Web…
Posté par le p'tit rapporteur du Magarin
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