jeudi 27 avril 2017

La cité du vin de Bordeaux… Une exposition "Bistrot ! De Baudelaire à Picasso"

Jusqu'au 21 juin, la Cité du vin à Bordeaux propose l'expo "Bistrot ! De Baudelaire à Picasso" avec plus de 100 œuvres mêlant peinture, photographie, cinéma et littérature.

Inaugurée le 1er juin 2016, C'est la première grande exposition temporaire pour la Cité du Vin à Bordeaux qui met en lumière le bistrot de la fin du XVIII ème siècle à nos jours avec plus de 100 œuvres proposées au public. A travers des peintures, des photographies, des films, des chansons et des écrits, cette exposition montre le rôle essentiel des cafés et des bistrots, ces lieux de convivialité et de rencontres.

Quatre thèmes pour cette exposition : "atmosphère, atmosphère", "l'ivresse à deux sous", "magnétismes" et "une bohème de rêve" avec une scénographie reprenant l'identité graphique des carreaux de faïence typiques de ces bistrots pour présenter des oeuvres de Charles Baudelaire, Toulouse-Lautrec, Raoul Dufy, Pablo Picasso, Jean Cocteau, Léon Lhermitte, Henri Cartier Bresson, Robert Doisneau, Edouard Manet, Otto Dix, Louis Aragon,...

"La Cité du Vin ne se limite pas à l'œnotourisme, elle a aussi une ambition artistique. Photos de Doisneau, textes de Patti Smith, dessins de Picasso ou toiles de maîtres... Cette première exposition temporaire est donc dédiée aux bistrots, cafés, guinguettes et autres cabarets qui ont inspiré nombre d'artistes depuis qu'ils existent !"

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…
Pour plus d’information : la Cité du Vin 


             
                                    Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin

mardi 25 avril 2017

Présidentielle 2017… Une campagne qui restera quoi qu’il arrive singulière !

Que retiendront-nous de la campagne présidentielle 2017 ? Beaucoup de choses, assurément. Car celle-ci s’est nettement distinguée des précédentes, mais souvent hélas… pas dans le bon sens ! Dans un sondage réalisé avant le 1er tour, 67% des personnes interrogées affirmaient ainsi ressentir "de la déception, du dégoût ou de la colère" vis-à-vis de cette séquence entamée en fin d’année dernière. Si le déroulement de cet épisode préélectoral marquera durablement l’histoire et ce, quel que soit le résultat au soir du second tour, le 7 mai, c’est parce que plusieurs épisodes ont animé ce feuilleton de longue haleine !

- Un président qui ne se représente pas…
Le 1er décembre dernier, François Hollande a surpris tout le monde. Le président de la République a annoncé qu’il avait pris la décision "de ne pas être candidat à l’élection présidentielle". Élu en 2012 face à Nicolas Sarkozy, François Hollande devenait ainsi le premier président de la Ve République à renoncer à briguer sa succession, exception faite de Georges Pompidou, décédé en fonctions en 1974.

- Des primaires, à droite comme à gauche…
Conséquence directe du renoncement de François Hollande, le Parti socialiste et ses alliés ont organisé, comme avant l’élection de 2012, une primaire afin de désigner leur candidat pour la présidentielle. Pour la droite, l’organisation d’une primaire était une grande première. Et elle a réservé de grosses surprises. L’ex-président de la République, Nicolas Sarkozy, a été éliminé dès le premier tour.

- L’omniprésence des affaires…
Des candidats à la fonction suprême visés par des affaires, ce n’est pas nouveau. Ce qui l’a été lors de cette campagne, c’est l’importance et l’échos retentissant qu’ont eu ces affaires dans les semaines et les mois précédant le premier tour. Deux candidats sont concernés… François Fillon, principalement à travers le dossier des emplois présumés fictifs de son épouse Penelope, et Marine Le Pen, soupçonnée d’avoir fait travailler certains de ses assistants au Parlement européen pour le Front national.

- Quatre candidats dans un mouchoir de poche…
Les résultats sont variables d’un sondage à l’autre et il est important de rappeler que les sondages ne sont jamais un reflet incontestable des intentions de vote réelles des électeurs. Mais cette année, il est tout de même inédit de retrouver, jusqu’au jour du premier tour, quatre candidats dans un mouchoir de poche dans toutes les études d’opinion. Pour rappel, à quelques jours du scrutin en 2012, François Hollande (28%) et Nicolas Sarkozy (26%) étaient nettement en tête. Un résultat qui s’était confirmé lors du vote. Même chose en 2007 avec les deux finalistes, Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal. 

- Une indécision record…
Si jusqu’au soir du 1er tour, quatre candidats peuvent encore prétendre se qualifier pour le deuxième tour de la présidentielle, c’est probablement parce que les électeurs sont particulièrement indécis. Plus, semble-t-il, que lors des élections précédentes.

- L’absence d’un candidat écologiste…
Pour la première fois depuis l’élection présidentielle de 1974, aucun candidat écologiste ne s’alignera sur la ligne de départ. Cette année, Yannick Jadot, vainqueur de la primaire d’Europe écologie les Verts (EELV), a décidé de se retirer et de s’associer au candidat socialiste Benoît Hamon.

- De nouvelles règles pour la campagne…
La campagne 2017 est la première à se dérouler selon les nouvelles règles votées par le Parlement en 2016. Une mesure alors fortement décriée par ceux que l’on appelle les "petits candidats". Deux mesures phares sont entrées en vigueur ces dernières semaines. D’abord, la période de stricte égalité du temps de parole est passée de cinq à deux semaines. Autre mesure emblématique, le système des parrainages a été modifié… Les noms des élus qui parrainent ont tous été publiés au fur et à mesure.   

- Un débat avec tous les candidats…
Jamais, lors des élections précédentes, une chaîne de télévision n’était parvenue à rassembler sur un même plateau l’ensemble des candidats à la présidentielle pour qu’ils débattent de leurs propositions avant le premier tour. C’est ce que sont parvenus à faire BFMTV et CNews le 4 avril.

- Une campagne en état d’urgence…
Jamais une campagne présidentielle ne s’était déroulée dans un tel contexte sécuritaire. Depuis les attentats de Paris en novembre 2015, le pays est soumis au régime d’exception de l’état d’urgence.

"Quelque soit le résultat de cette élection à la présidentiel 2017… Ce dimanche 23 avril 2017, nous sommes tous devant nos responsabilités ! Marianne est bonne fille, toutefois, elle est comme notre vielle terre, elle secoue son échine ! Marianne, c'est la République et les citoyens qui la composent. Des Français fatigués et meurtris par l'actualité, prêts à se serrer les coudes sans pour autant être crédules ! Les dirigeants de notre pays doivent également prendre leurs responsabilités lorsqu'ils sont au pouvoir ! Dimanche 7 mai, l'histoire nous donne rendez-vous…"  

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…

Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin

vendredi 21 avril 2017

A la découverte... Du Château de Buzay !

Balades en Charente-Maritime. Aujourd’hui nous nous partons à la découverte du château de Buzay…


A environ 7 kilomètres de La Rochelle, la Jarne est une petite commune résidentielle au sud-est de la ville. Son principal point d'intérêt touristique repose sur le Château de Buzay, dont le domaine s'étendant aux côtés du village s'aperçoit déjà depuis la route qui y mène.

 Le Château de Buzay est un bâtiment classé monument historique depuis 1950. De style néo-classique, c'est aux environs de 1770 qu'est érigée cette grande propriété d'une famille d'armateurs rochelais, friands de demeures de campagnes de prestige pour imposer leur fortune issue du tristement célèbre commerce triangulaire. Depuis sa construction, il est resté propriété de la même famille. Le château respecte les lignes néo-classiques de style Louis XVI,  en parfait état de conservation, tant à l'extérieur qu'à l'intérieur, dont l'aménagement, le mobilier et sa disposition ainsi que le décor des différentes pièces, comme les boiseries ou les portraits de famille, ont été conservé dans leur état d'origine.

Au-cour de la visite de Buzay, ne manquez pas de parcourir son jardin à la française et son parc, tous deux classés ! Parfaits témoins de l'organisation des tracés de la fin du XVIIIe siècle, pour une balade au fil des multiples allées traversant des coins de verdures plus ou moins ordonnés. Le château est ouvert aux visites tous les jours de juillet à septembre, sur rendez-vous en mai juin et octobre, et fermé le reste de l'année.

"Ce château de Buzay incarne l'équilibre qui fit du XVIIIème siècle français une référence artistique universelle. Son architecture, aux lignes parfaitement proportionnées, en fait un modèle d'harmonie !"

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…
Pour plus d’information : http://www.buzay.fr/


Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin


mercredi 19 avril 2017

Elles arrivent… Les pommes de terre de l’Île de Ré !

Les toutes premières arrivent sur les marchés, et  il n’est plus besoin de présenter les pommes de terre de l'île de Ré, leur réputation a depuis longtemps franchi les limites de l'île.

Première pomme de terre primeur, elle est aussi le premier produit frais à avoir été reconnu en AOC en 1998. Peau fine et chair tendre, ces pommes de terre sont exclusivement cultivées sur l'île de Ré sur une surface de 120 hectares et bénéficient d'une appellation d'origine protégée (AOP). La récolte vient de commencer et va se poursuivre jusqu'au mois de juin avec des prix qui vont décroître au fur et à mesure où les quantités récoltées vont augmenter. L'an passé, 2 000 tonnes ont été récoltées sur l'île.

Les ravages du Phylloxéra dans les vignes à la fin du XIXème siècle permirent à la pomme de terre de s’installer durablement et qualitativement sur l’île de Ré… Depuis les deux cultures se partagent le territoire rhétais. La pomme de terre de l’île de Ré aime ses sols sablonneux et calcaires, son climat doux et ensoleillé, ses vents aux accents marins… Arrivée fin avril sur les étals, elle en repart aussi vite dès la fin juin… furtive elle n’en est que plus appréciée, il ne faut donc pas la manquer ! Ferme et fondante, subtilement sucrée et légère en amidon, caractérisée par son goût iodé et de noisette, elle aime être cuisinée… Simplement ou gastronomiquement, sur le pouce ou sur une table de fête, elle aime régaler son monde ! Les puristes la préfèrent cuite au four, juste pelée, avec un peu d’huile pour accompagner viande ou poisson mais rien n’interdit de la sublimer avec une recette plus élaborée…

"Les beaux jours arrivent, et la pomme de terre de l’Île de Ré se dévoile enfin... elle a quelque chose de magique ! L’île de ré et la pomme de terre forment depuis le XIXème siècle une union bénie. La douceur du climat océanique, l’ensoleillement exceptionnel et le terroir unique de l’île sont certainement à l’origine du goût inégalable de la primeur rétaise !"

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…
Pour plus d’information : http://ilederepommedeterre.com/

Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin

vendredi 14 avril 2017

Le Printemps de Bourges 2017… Du 18 au 23 avril !

Ce n’est plus qu’une question de jours avant de déclarer officiellement ouverte la longue et belle saison des festivals 2017.  Evènement musical incontournable ! Le Printemps de Bourges donne le ton en ouvrant, pour la 41ème édition et Chaque année… la ville de Bourges s’illumine à l’occasion de son fameux Printemps de Bourges !

Quarante ans après sa création, et pour sa première édition sans son fondateur Daniel Colling  qui a passé la main, le Printemps de Bourges tente de se renouveler sans se renier. Hormis les figures obligées et familiales (Renaud, Vianney, Jain, Soprano…), et les jeunes talents en vogue, forcément présents (Fishbach, Jacques, Tim Dup, François & the Atlas Mountains…) Ce cru 2017 réserve quelques nouveautés et exclusivités, plutôt appétissantes !

"Le festival tourne une page de son histoire… Pour son édition 2017, il demeure avant tout une belle vitrine pour la scène hexagonale, des meilleurs espoirs aux plus confirmés. Avec, en prime quelques nouveautés et surprise au programme !"

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…
Pour plus d’information : http://www.printemps-bourges.com/


Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin

mardi 11 avril 2017

Une exposition sur l’estuaire de la Gironde…

Celle-ci se tient aux Archives départementales de Charente-Maritime, 35 rue François-de-Vaux-de-Foletier, La Rochelle. Le lundi de 10 h à 17 h 30 et du mardi au vendredi de 9 h à 17 h 30. Entrée libre. Et ce Jusqu’au 26 mai.

L’exposition « L’estuaire de la Gironde, paysages, patrimoines et archives » révèle de nombreux documents d’archives encore jamais dévoilés. Parmi eux, la première carte connue de l’estuaire, datant de 1759, empruntée aux Archives nationales de Paris. Elle retrace également l’histoire de l’estuaire au fil des siècles, et a été conçue par les Archives départementales de la Gironde et les services de l’Inventaire de la région Nouvelle-Aquitaine. Il a fallu plusieurs années pour réunir ce rigoureux inventaire, qui présente le patrimoine architectural et paysager du plus grand estuaire d’Europe. Des photographies et cartes postales anciennes illustrent les paysages somptueux, façonnés par les éléments naturels et les marées… Une véritable invitation à la découverte !

"Un voyage au gré des flots, mais également au fil des siècles... On y découvre les paysages naturels de l'estuaire, mais aussi l'impact de la civilisation depuis plusieurs générations. Comment, depuis l'Antiquité, la main de l'homme a façonné l'estuaire de la Gironde !"

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…

Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin

vendredi 7 avril 2017

Ces gaspillages publics… un puits sans fond Qui coûtent des milliards d’euros aux contribuables !

L’argent versé ne l’est pas toujours à bon escient hélas ! Privilèges, bâtiments surdimensionnés, projets qui font flop... Quelques gaspillages (qui sont malheureusement parmi tant d’autres) et qui ont coûté des milliards d’euros à l'État français ! Je vous laisse faire le calcul...

·         L'hôtel de région de Clermont-Ferrand : 80 millions d’euros…
Inauguré en juin 2014, le bâtiment devait abriter le conseil régional d’Auvergne. Mais patatras ! Avec le redécoupage des régions et la fusion de l’Auvergne et de Rhône-Alpes, c’est Lyon qui a été choisi comme siège de la nouvelle entité. Les édiles d’Auvergne se sont refusés à vendre l’édifice ou à déplacer les 400 agents régionaux qui y travaillent actuellement. Et une partie des locaux reste désespérément vide…

·         Le musée du Louvre à Lens : 201 millions d’euros…
Et dire que son directeur rêvait de franchir la barre du million de visiteurs par an ! On en est loin : la fréquentation de l’antenne nordiste du Louvre est passée de 863.111 personnes en 2013 à 435.213 visiteurs en 2015. En outre, les entrées gratuites ont représenté 81% du total en 2013 et encore 60% en 2014. Outre le coût du bâtiment (201 millions d’euros), le musée génère seulement 2,7 millions de recettes pour 16 millions de dépenses.

·         Le TER Oloron-Sainte-Marie à Bedous : 102 millions d’euros…
La ligne avait été abandonnée il y a 35 ans faute de trafic. Depuis juin 2016, un TER relie les 24,7 kilomètres qui séparent Oloron-Sainte-Marie à Bedous, dans les Pyrénées-Atlantiques. 102 millions d’euros ont été lâchés par la région Nouvelle-Aquitaine pour cette ligne malgré un rapport d’enquête de 2013 de Réseau ferré de France qui s’inquiète d’un «niveau de rentabilité socio-économique très faible, voire négatif». D’après Georges Manaut, président d’une association d’opposants, le TER a remplacé «un service de bus qui transportait seulement 3,9 passagers par voyage».

·         La nouvelle route du littoral à la Réunion : 1,66 milliard d’euros…
Débuté fin 2013, le chantier de cette route avance : le «Zourite», un navire-usine de la taille d’un stade de foot, a commencé l’installation du viaduc, qui sera le plus long de France. Un record qui ne fait pas oublier aux contribuables réunionnais qu’il en cache un deuxième : la NRL (Nouvelle Route du Littoral) sera la route la plus chère du monde, à 133 millions d’euros le kilomètre. Elle remplacera l’actuelle route, fréquemment menacée et endommagée par les chutes de pierres de la falaise. La mise en service de la NRL est prévue pour 2019 ou 2020…espérons qu’elle résiste aux pierres, elle.

·         L’écotaxe : 1 milliard d’euros…
Cet impôt écologique voté en 2009 prévoyait de taxer les poids lourds de plus de 3,5 tonnes roulant sur le réseau routier. Devant la fronde des transporteurs et des bonnets rouges bretons, l’État a fait machine arrière en 2014. Un revirement tardif qui a coûté plus d’un milliard d’euros aux finances publiques, entre le démontage des portiques et les sommes dues à Ecomouv’ (la société qui devait gérer l’écotaxe).

·         Le Cese : 38 millions d’euros…
«Développement de la culture du dialogue social en France» «La dette : un pont entre passé et avenir», «Les forces vives au féminin», etc. Ces rapports "originaux" émanent du Cese, le Conseil économique, social et environnemental. Les 233 conseillers, qui y rédigent de tels rapports, issus de la société civile, touchent une substantielle indemnité mensuelle de 3.746 euros. Pour certains, l’assemblée consultative est une planque en or pour recaser les copains. Chaque année, cette assemblée consultative coûte 38 millions d’euros à l’Etat.

·         Le bicentenaire de la Caisse des dépôts : 2,6 millions d’euros…
C’est la somme folle qu’a dépensée la Caisse des dépôts pour fêter ses 200 ans au Grand Palais à Paris en janvier 2016, a révélé «le Canard Enchainé». 500.000 euros ont ainsi été déboursés pour faire venir les salariés de province, 700.000 euros dépensés pour les gaver de petits-fours au sein du Grand Palais, loué 340.000 euros pour l’occasion.

·         Le superlogiciel de paie : 346 millions d’euros…
Un échec chèrement payé ! L’ONP ou «Opérateur national de paie» devait gérer la paie de 2,7 millions d’agents de 15 ministères. Une fois mis en place, ce logiciel devait permettre de faire des économies. Mais le projet lancé en 2007 a été abandonné sept ans plus tard, après nous avoir tout de même coûté 346 millions d’euros. Réjouissons-nous, la facture aurait pu être plus lourde….

·         Le temps de travail des agents territoriaux : 1,2 milliard d’euros…
1.562 heures annuelles au lieu des 1.607 heures réglementaires, c’est la durée moyenne de travail dans les collectivités locales. Ce constat révélé par la Cour des comptes en 2016 pointe notamment de trop nombreux congés supplémentaires octroyés par les élus à leur personnel. En supprimant ces congés, on pourrait économiser 1,2 milliard d’euros, estiment les magistrats de la rue Cambon.

·         Le salaire majoré des fonctionnaires dans les DOM-TOM : 1 milliard d’euros…
Les fonctionnaires travaillant dans les DOM-TOM bénéficient de plusieurs avantages, dont une rémunération majorée (40% dans les Antilles, 53% à la Réunion). Un coup de pouce de l’État pour compenser le surcoût de la vie sur les îles, mais que la Cour des comptes juge surévalué. Cette surrémnuération coûte 1 milliard d’euros chaque année aux contribuables.

·         Les retraites de la SNCF et de la RATP : 4 milliards d’euros…
On ne compte plus les promesses des politiques pour revenir sur le généreux régime de retraite des agents de la SNCF et de la RATP. Faut-il rappeler que les bénéficiaires peuvent raccrocher plus tôt (respectivement 56,5 ans en moyenne pour les premiers et 54,7 ans pour les seconds) et qu’ils cotisent moins que les autres salariés ? Pour rééquilibrer les comptes de ces deux régimes spéciaux, l’Etat doit dépenser plusieurs milliards d’euros chaque année. En 2015, la facture s’est élevée à 4 milliards d’euros (3,3 milliards pour les retraités de la SNCF et 618 millions d'euros pour les employés de la RATP). Maigre consolation, cette facture devrait diminuer d'année en année.

·         Des IPhone et iPad offerts aux élus du Grand Est : 190.000 euros…
Les 169 élus du Conseil régional de la nouvelle région issue de la fusion de l'Alsace, de la Lorraine et de la Champagne-Ardenne ont reçu un joli cadeau en janvier 2016 : un kit comprenant un atlas et surtout un iPad et un iPhone flambant neuf. Avec les abonnements pris en charge. Une dépense de 190.000 euros pour la collectivité. Précisons que le matériel devra être restitué en fin de mandat… ouf l’honneur est sauf !

·         Les frais de taxi à France Télévisions : 2 millions d’euros…
Cette copieuse note a été révélée en octobre 2016 par la Cour des Comptes qui dressait un rapport sévère sur la gestion du groupe audiovisuel public. Parmi les anomalies constatées, l’exorbitant montant des frais de taxi : 2 millions d’euros en 2015. On y lit que 10 salariés ont réalisé chacun entre 7.500 et 22.000 euros de déplacements… alors que deux d'entre eux avaient une voiture de fonction ! Précisons que l'entreprise publique n'effectuait aucun contrôle sur ces déplacements. Depuis, elle s’est engagée à mieux réglementer ces pratiques.

"Ce ne sont là que quelques exemples de gaspillage… comment est-ce donc possible, pareil n'importe quoi ? Pareille désinvolture dans la gestion de l'argent public ? Pareil foutoir dans des administrations ou des entreprises publiques que le nombre de fonctionnaires devrait mettre à l'abri d'une telle gestion loufoque ? Questions d'autant plus cruelles qu'on n'entend jamais parler des suites données… Car l'impunité et la fatalité semblent recouvrir de leur manteau de poussière ces rituels toujours recommencés… et sans fin !"

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…


Posté par le p'tit rapporteur du Magarin

mercredi 5 avril 2017

Les Grandes Eaux Musicales… Du Château de Versailles !

Le Château de Versailles et ses jardins royaux ravissent les yeux des visiteurs depuis plus de 350 ans. Du 1er avril au 29 octobre 2017, venez découvrir une nouvelle saison de promenades autour des bosquets et des fontaines du domaine... Au rythme de la musique, 55 fontaines situées dans les 850 hectares des jardins versaillais offrent tous les week-ends un spectacle incroyable, hérité du Siècle Soleil !

Les Grandes Eaux Musicales permettent de profiter, en une promenade, de l’extraordinaire beauté des jardins du Château de Versailles, des fontaines et des musiques qui les ont autrefois animés. Les plus grands compositeurs baroques, de Lully à Charpentier ou Rameau, accompagneront votre flânerie royale en musique.

Depuis toujours le talent des fontainiers du 17ème siècle et de leurs successeurs fait des Grandes Eaux une inoubliable féérie. Les fontaines multiplient les effets. De métal, de marbre, les dieux, les humains, les animaux semblent s’animer quelques instants pour notre plus grand plaisir. Lorsque les eaux jouent, c’est à un ballet que vous assistez. C'est assez impressionnant d'observer ce système hydraulique imaginé en 1660, afin d'appuyer la puissance du Roi Soleil… En quatre ans, les plus beaux jardins du monde furent réalisés grâce aux travaux les plus lourds de l'époque. Creusement du Grand Canal, construction d’imposants réservoirs d’eau, mise en place d’un immense réseau fermé de canalisations sur 35 km, menant à 600 jeux d'eau ! 80% sont d'époque. Illustration d'une monarchie triomphante, Versailles utilisa au service de sa construction les moyens les plus lourds. Un tiers de la dépense globale du château de Versailles a été consacré à chercher l'eau.  De quoi charmer les nombreux spectateurs venus du monde entier pour en profiter dans le parc.

Les grandes eaux nocturnes de Versailles… Incontournable des Spectacles Nocturnes à Versailles. Cette année encore, des artistes de la lumière et de la scénographie s'emparent des jardins pour les faire rayonner de mille feux et présenter des installations surprenantes. Et pour clôturer ce parcours hors du commun, un feu d'artifice sera tiré devant le Grand Canal, enrichie par les chefs d'oeuvres de la musique baroque française interprétés par Reinhard Goebel et son orchestre Musica Antiqua Köln. Une soirée magique en perspective !

"Classé au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco, le château de Versailles est célèbre par sa galerie des glaces, son parc mais aussi par les grandes eaux musicales qui ont lieu à la belle saison. Pour une ballade royale à la découverte des bosquets exceptionnellement ouverts au public. Fontaines jaillissantes et musique baroque pour ornements visuelle et sonore…. Incontournable !"

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…
Pour plus d’information : http://www.chateauversailles-spectacles.fr/les-grandes-eaux-musicales

Les Grandes Eaux Musicales du Château de Versailles - Edition 2016

                    Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin

dimanche 2 avril 2017

RSA, prix du gaz, billet de 50 euros… Ce qui change au 1er avril !

Baisse du prix du gaz, revalorisation de prestations sociales, nouveau billet de 50 euros, obligation d’afficher les contrôles sanitaires dans l’alimentaire. Voici les principaux changements à compter du mois d’avril

·         Hausse des prestations sociales…

Plusieurs prestations familiales et sociales vont légèrement augmenter au 1er avril, en ligne avec l’inflation, soit une hausse de 0,28%
– Le RSA, actuellement à 535 euros pour une personne seule, passera à 536,78 euros.
– La prime d’activité, aide aux travailleurs modestes, actuellement d’un montant de base pour une personne seule de 524,68 euros va atteindre 526,25 euros.
– L’Allocation adulte handicapé (AAH), dont le montant mensuel maximum est de 808,46 euros, passera à 810,89 euros.
– L’Allocation de soutien familial (ASF), qui complète le revenu disponible des parents élevant seuls leurs enfants et qui n’ont pas ou de faibles pensions alimentaires, augmentera au-delà de l’inflation à 146,09 euros à taux plein, et le complément familial, versé aux allocataires modestes ayant au moins trois enfants, à 169,03 euros.
– L’allocation de rentrée scolaire, qui sera versée au mois d’août, a été calculée et passera de 363 euros à 364,09 pour les 6–10 ans, de 383 euros à 384,17 euros pour les 11–14 ans, et de 396 euros à 397,46 euros pour les 15–18 ans.

·         Revalorisation des salaires dans certaines branches…

– la chimie (industrie)
– les transports routiers
– l’hôtellerie de plein air

·         Baisse des prix du gaz…

– Les tarifs réglementés du gaz, appliqués par Engie à environ 5,8 millions de consommateurs en France, baisseront de 0,73% en moyenne au 1er avril (-0,8% pour les foyers se chauffant au gaz, –0,3% pour un usage réservé à la cuisson, et –0,5% pour un double usage cuisson + eau chaude).
– Fin de la trêve hivernale des coupures d’électricité et de gaz.
– Près de 2 millions de logements collectifs devront avoir été équipés d’un système d’individualisation des frais de chauffage. Mais beaucoup de bâtiments n’ont pas été mis en conformité.

·         Nouveau billet de 50 euros…

Mardi 4 avril, les nouveaux billets de 50 euros seront mis en circulation en France et dans les autres pays de la zone euro. Comme les précédentes coupures modernisées de 5 euros, 10 euros et 20 euros lancées ces dernières années, ils incluent des dispositifs renforcés anti-contrefaçon. Les anciens billets resteront utilisables en parallèle, aucune date de retrait n’étant pour l’instant programmée.

·         Secteur du bâtiment…

Travaux à domicile et équipement de la maison Les artisans doivent afficher leurs prix sur leur site Internet + devis obligatoire avant travaux.

·         Agences immobilières…

Affichage des prix (TTC) obligatoires en vitrine et sur Internet.  

·         Fin de la trêve hivernale…

Les expulsions locatives mais aussi les coupures de gaz et d’électricité sont de nouveau possibles en cas d’impayés (et ce jusqu’au 1er novembre).

·         Contrôles sanitaires…

Le 3 avril, seront mis en ligne pour la première fois les résultats des contrôles sanitaires effectués par l’État dans tous les secteurs liés à l’alimentation, depuis les abattoirs jusqu’aux restaurants, en passant par cantines, supermarchés, marchés, industrie de transformation agroalimentaire ou vente à la ferme. Ils seront consultables sur le site internet www.alim-confiance.gouv.fr et via l’application gratuite alim’confiance.

Éric.L
Source d’inspiration : World Wide Web…

Posté par le p'tit Rapporteur du Magarin