“L'œuvre littéraire sert de miroir au public. L'auteur s'y reflète et le lecteur y trouve son image.”
Jiang Zilong
Jiang Zilong
Le cercle des poètes disparus de N.H Kleinbaum.
Résumé : A Welton, un rigide collège américain pour garçons, surgit un nouveau professeur de lettres, Monsieur Keating. Lui-même ancien élève, ce dernier a pris soin d'amener dans ses valises son enthousiasme, sa passion pour la vie et la poésie, et va être le premier à donner le droit à ses étudiants de penser par eux-mêmes. Ce pédagogue peu orthodoxe va leur communiquer sa passion de la poésie, de la liberté, de l’anticonformisme… Autrement dit, à sortir du moule qui leur est imposé […]
Ce livre publié en 1990, est le symbole de la pensée épicurienne au sein de la littérature contemporaine. Sans pour autant entrer dans les stéréotypes, ce livre nous dit comment vivre et savoir vivre. L’hymne au libre-arbitre et à la quête de soi transparaît en filigrane tout au long du roman. N.H. Kleinbaum dépeint le milieu estudiantin des années 60 d'une manière pertinente et juste. Les personnages sont attachants et réalistes. Ce livre vaut vraiment la peine qu'on s’y attarde, en prenant soin toutefois de se libérer des images laissées par le film, que la plupart auront certainement vu avant. Cette histoire très émouvante mérite d’être considérée comme ce qu’elle est… une leçon sur la vie et sur le destin que chacun a le droit de se choisir. Plein de bon sens, le texte est riche de vérité.
Résumé : A Welton, un rigide collège américain pour garçons, surgit un nouveau professeur de lettres, Monsieur Keating. Lui-même ancien élève, ce dernier a pris soin d'amener dans ses valises son enthousiasme, sa passion pour la vie et la poésie, et va être le premier à donner le droit à ses étudiants de penser par eux-mêmes. Ce pédagogue peu orthodoxe va leur communiquer sa passion de la poésie, de la liberté, de l’anticonformisme… Autrement dit, à sortir du moule qui leur est imposé […]
Ce livre publié en 1990, est le symbole de la pensée épicurienne au sein de la littérature contemporaine. Sans pour autant entrer dans les stéréotypes, ce livre nous dit comment vivre et savoir vivre. L’hymne au libre-arbitre et à la quête de soi transparaît en filigrane tout au long du roman. N.H. Kleinbaum dépeint le milieu estudiantin des années 60 d'une manière pertinente et juste. Les personnages sont attachants et réalistes. Ce livre vaut vraiment la peine qu'on s’y attarde, en prenant soin toutefois de se libérer des images laissées par le film, que la plupart auront certainement vu avant. Cette histoire très émouvante mérite d’être considérée comme ce qu’elle est… une leçon sur la vie et sur le destin que chacun a le droit de se choisir. Plein de bon sens, le texte est riche de vérité.
"N'hésitez pas ! Ce livre n'est pas très long. Et si vous savez « lire », c'est-à-dire, vous imprégner d’un roman et de ce qu'il nous confie de manière implicite, autrement dit ne pas seulement parcourir les lignes, alors vous ne regretterez pas d'avoir découvert celui-là !"
Éric.L
Posté par le p'tit rapporteur du Magarin
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